Dînette magazine

Time 2020-12-09 22:06:28

Web Name: Dînette magazine

WebSite: http://dinettemagazine.com

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La légère brise, d’un froid piquant, s’immisce sournoisement sous mon manteau et annonce la suite. Le voilier sur lequel nous naviguerons dans la baie de Disko nous attend au port. Le voyage dans le voyage peut commencer. La splendeur du moment nous empêchait de rebrousser chemin. Nous sentions qu’un événement complètement unique se déroulait trop près de nous pour rester immobiles. Dans le département des Hautes-Pyrénées, à la frontière du Pays basque français, les routes se remplissent de brebis suivant vaillamment leurs bergères et leurs bergers. C’est un spectacle de folie qui s’offre à la nuit. Des danseurs voltigent dans un émoi de couleurs kaléidoscopiques. Leurs corps pulsent au rythme de sons envoûtants qui gonflent l’air d’énergie. Dans les profondeurs de l’Himalaya, là où l’altitude fait tanguer la conscience et où la densité de la jungle dissipe nos repères, une force inexorable bourdonne de mystère. Elles ont la détermination calme et terrienne de celles qui œuvrent fort, depuis longtemps et avec rigueur. Ce groupe se nomme les Oregano Women of Nohuayún, le Comité des femmes pour la préservation de l’origan. Chaque mardi, je quitte le bureau à la hâte, impatiente de troquer mes vêtements corpos pour une tenue de jardin et mes bonnes vieilles bottes de pluie. Le jardin collectif de ma ville m’offre de précieux moments de quiétude et de découverte en compagnie d’autres passionnés du jardinage.numéro dix-neufLumièreLe numéro 019 nous transporte dans le spectre infini de la lumière. Nous traversons toutes ses nuances, nous la défragmentons, nous célébrons son intensité et nous baignons dans son absence. Nous suivons son parcours alors qu’elle se matérialise dans la brume et la poussière, nous l’attrapons, le temps d’un instant, pour nous donner du courage. Le numéro 019 nous transporte dans le spectre infini de la lumière. Nous traversons toutes ses nuances, nous la défragmentons, nous célébrons son intensité et nous baignons dans son absence. Nous suivons son parcours alors qu’elle se matérialise dans la brume et la poussière, nous l’attrapons, le temps d’un instant, pour nous donner du courage. Le numéro 018 - Force est une ode à la force tranquille qui sommeille à l’épicentre des paysages majestueux et qui s’anime sans équivoque. Nous écoutons les histoires anciennes qui, dans toute leur puissance, ont traversé le temps et nous inspirent encore aujourd’hui. Nous nous perdons dans la pureté indéniable du froid, du blanc infini, du zéro absolu, des lignes épurées et des angles exigus. Danslenuméro 017 – Duo, on analyse la synergie, la complémentarité, l'union. C'est dans l'amalgame de deux entitésquel'on trouve l'équilibre. C'est dans la fraternité, l'amitié et l'amour que la magie del'attraction naturelle s'opère, cette force indomptable et impossible d'ignorer qui donne naissanceàune complicité impénétrable. Dans la quête dubutcommun se développentladifférence, l'opposition, les conflits... c'est alors que les compromis prennent la relève, essuyant lesanicroches, célébrant les différences. L'un se fond à l'autre dans une symbiose parfaite. Depuis 10 000 ans, les Innus occupent, entre autres, les berges du golfe du Saint-Laurent selon un mode de vie semi-nomade. L’hiver, c’est la saison de la chasse. L’été se passe plutôt sur le bord de l’eau à pêcher et dans la forêt boréale à cueillir les petits fruits, comme la chicouté et les graines rouges. Nous laissons enfin derrière nous la terre ferme et nous nous aventurons sur la route tracée au milieu de l’étendue de glace pour rejoindre le village de pêcheurs qui se dessine devant nous. La légère brise, d’un froid piquant, s’immisce sournoisement sous mon manteau et annonce la suite. Le voilier sur lequel nous naviguerons dans la baie de Disko nous attend au port. Le voyage dans le voyage peut commencer. Cette mélasse dense et vaporeuse à la fois, est tel un simulacre qui se disperse sous nos yeux pour nous laisser découvrir, petit à petit, les trésors anciens qui peuplent les villes de la côte Est de l’Allemagne. Gudon la magique. Cachée au creux des montagnes italiennes, elle fait courir aléatoirement ses rues étroites et sinueuses sur les flancs gazonnés de la vallée de l’Isarco. Enfin, que ce soit avec le marché Souk el Tayeb, les tables fermières de Tawlet ou les gîtes, Kamal Mouzawak démontre bien que la rencontre de l’autre ouvre la porte à la découverte et au partage. La splendeur du moment nous empêchait de rebrousser chemin. Nous sentions qu’un événement complètement unique se déroulait trop près de nous pour rester immobiles. Dans le département des Hautes-Pyrénées, à la frontière du Pays basque français, les routes se remplissent de brebis suivant vaillamment leurs bergères et leurs bergers. C’est un spectacle de folie qui s’offre à la nuit. Des danseurs voltigent dans un émoi de couleurs kaléidoscopiques. Leurs corps pulsent au rythme de sons envoûtants qui gonflent l’air d’énergie. Dans les profondeurs de l’Himalaya, là où l’altitude fait tanguer la conscience et où la densité de la jungle dissipe nos repères, une force inexorable bourdonne de mystère. Elles ont la détermination calme et terrienne de celles qui œuvrent fort, depuis longtemps et avec rigueur. Ce groupe se nomme les Oregano Women of Nohuayún, le Comité des femmes pour la préservation de l’origan. Une quinzaine de ruches visibles de la route, une belle grande maison, la forêt derrière, ainsi que Jonathan qui nous accueille tout sourire dans le beau milieu tout ça : on était bien arrivées. Paisiblement endormies, à cheval sur la Colombie-Britannique et l’Alberta, les Rocheuses canadiennes recèlent des trésors naturels. Sauvages, elles n’obéissent à personne, ni à la volonté humaine de les apprivoiser, ni aux éléments d’humeur changeante. Ce n’est pas la première fois que l’on s’aventure en Islande, ni même la seconde, pourtant, l’excitation de retrouver ce pays qui a vu naître notre passion commune pour la photographie était grande, pleine de promesses. Depuis 10 000 ans, les Innus occupent, entre autres, les berges du golfe du Saint-Laurent selon un mode de vie semi-nomade. L’hiver, c’est la saison de la chasse. L’été se passe plutôt sur le bord de l’eau à pêcher et dans la forêt boréale à cueillir les petits fruits, comme la chicouté et les graines rouges. Nous laissons enfin derrière nous la terre ferme et nous nous aventurons sur la route tracée au milieu de l’étendue de glace pour rejoindre le village de pêcheurs qui se dessine devant nous. La légère brise, d’un froid piquant, s’immisce sournoisement sous mon manteau et annonce la suite. Le voilier sur lequel nous naviguerons dans la baie de Disko nous attend au port. Le voyage dans le voyage peut commencer. Enfin, que ce soit avec le marché Souk el Tayeb, les tables fermières de Tawlet ou les gîtes, Kamal Mouzawak démontre bien que la rencontre de l’autre ouvre la porte à la découverte et au partage. Fromages d’ici nous a mis au défi d’amener une activité intérieure à l’extérieur et de préparer deux recettes bien fromagées sur le feu, en pleine nature. J’ai toujours été fascinée par les marins, depuis mes lectures d’enfance d’Hergé ou de Jules Verne. Ce qui m’impressionne, c’est le courage et le flegme avec lequel ils doivent réagir aux humeurs des fleuves et océans indomptables. Elles ont la détermination calme et terrienne de celles qui œuvrent fort, depuis longtemps et avec rigueur. Ce groupe se nomme les Oregano Women of Nohuayún, le Comité des femmes pour la préservation de l’origan. Une quinzaine de ruches visibles de la route, une belle grande maison, la forêt derrière, ainsi que Jonathan qui nous accueille tout sourire dans le beau milieu tout ça : on était bien arrivées. Direction : Saint-Benoîtdu-Lac, dans les Cantons-de-l’Est, où Fromages d’ici nous a invités à visiter l’abbaye et la fromagerie du même nom. Bien que concevoir des magazines et imaginer toutes sortes de concepts pour des photoshoot demande un esprit créatif, j’ai souvent l’impression de n’effleurer que la surface de mon besoin de créer des choses, de travailler la matière et d’explorer d’autres mouvements que celui de mes doigts sur un clavier. La semaine dernière, nous avons visité la MMAQ - la Maison des métiers d’art de Québec, Plus tôt cette semaine, nous avons eu la chance de visiter un potager bien spécial, le potager du @igaqc Famille Duchemin qui est installé directement sur le toit de l’épicerie à Ville Saint-Laurent. #fraisdutoit est une initiative qui vise à fournir des herbes, des fleurs, des fruits et des légumes frais dans l’épicerie, mais qui sont cultivés directement sur le toit. C’était fascinant de parcourir les allées du potager fraîchement arrosées par l’orage qui venait de passer. Samedi dernier, Mathieu est parti avec notre ami/stagiaire français Basile et une de nos collaboratrices, Ariane, pour faire la rando du sentier des Crêtes au parc du Mont Orford de la Sepaq. Une trail épique qui va de sommet en sommet, un défi de taille surtout quand on y fait les premières traces après une bonne bordée de neige! Tout voir - vidéosVidéos#Teamdinette - Du potager à la valléeEn ce début d’été, le #teamdinette revient en France pour célébrer le lancement du numéro 016 - Renouveau. Pour l’occasion, nous faisons escale à Versailles, au potager royal, avant de passer la soirée sur les hauteurs de la vallée de Cernay#Teamdinette - Cinéma en natureC’est sur une terre agricole léguée de génération en génération que nous avons installé notre set-up parfait; un champ, un vieux pick-up avec des amis dans la boîte arrière, d’autres dans une Westfalia, des lanternes et des couvertures sur l’herbe, et un feu de camp pour cuisiner.

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