Le vrai visage de la grande distribution - Le ras le bol du discours de la grande distribution, qui

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Le vrai visage de la grande distribution - Le ras le bol du discours de la grande distribution, qui nous jure les yeux dans les yeux et la main sur le coeur, qu'elle se bat pour notre pouvoir d'achat... alors que toutes les enseignes font depuis des ann es d' normes b n fices sur le dos des consommateurs... Comment retrouve t'ondans les 100 plus grandes fortunes Françaises, 7 acteurs de la grande distribution? Comment les adhérents Leclerc, Intermarché et Système U sont à la tête des patrimoines les plus élevés dans les régions? En défendant votre pouvoir d’achat bien sûr… Carrefour en pleine tourmente.Le champion fran ais de la grande distribution s croule dans les classements internationnaux.Pendant longtemps, on s est gargaris de Carrefour qui tait num ro 2 mondial de la grande distribution, derri re l am ricain Walmart.C est du pass puisqu en l occurrence, a remonte 2001.Aujourd hui, Carrefour n est plus que num ro 9 mondial et vient encore de perdre deux places en terme de chiffre d affaires.Num ro 9 derri re videmment la fus e Amazon qui grimpe la sixi me place mondiale, mais aussi l Am ricain Cost-Co, les Allemands Aldi ou Lidl.Que s est-il pass ? Pourquoi Carrefour s est-il croul de la sorte ?Le probl me est parfaitement identifi .C est la crise de l hypermarch . Le concept de vendre tout sous le m me toit (invent par Carrefour il y a plus de 50 ans) a v cu.Aujourd hui, la mode n est plus au g n raliste mais aux sp cialistes.On va chez Zara pour acheter des v tements, chez D cathlon pour le sport ou chez Darty pour la hifi, c est un gros probl me pour Carrefour qui vend un peu de tout.Et puis, autre probl me, l arriv e d Internet qui lamine les marges.Aujourd hui, pour vendre une t l vision ou un v lo, comme les gens comparent les prix sur Internet, il faut s aligner et donc vendre quasiment sans marge.L hypermarch ne s duit donc plus et ne g n re plus de marge, c est un probl me majeur pour Carrefour et l enjeu n est pas mince.Carrefour c est plus de 100.000 salari s en France, une pr sence mondiale, dans plus de 30 pays o , chaque fois, le groupe met en avant, dans ses magasins, les produits fran ais et notre culture.Comment redresser la barre ? Comment Carrefour peut-il se r -inventer ?R ponse dans exactement une semaine.Alexandre Bompard pr sentera mardi prochain son plan de transformation .Il s agit bien de transformer Carrefour et de lui trouver un nouveau moteur, autre que l hypermarch .Carrefour va-t-il se recentrer sur l alimentaire ? sur les petites sup rettes ? Les services ? Le e-commerce ?Une rumeur pouvantable a circul , Carrefour pourrait se vendre Amazon. Amazon qui veut se d velopper dans les magasins en dur en Europe.Pour l heure, il n en est pas question.Mais, on voit bien l importance strat gique de faire revivre la flamme de notre champion fran ais de la grande distribution.Source: Europe 1 Des familles concern es par l affaire des lots de poudre de lait pour b b contamin s par des salmonelles envisagent de porter plainte contre les grands distributeurs. Une action en justice afin de savoir ce qu il s est pass du d but la fin .Comment deslaits infantiles Lactalisvis s par un rappel ont pu tre vendus dans les enseignes de la grande distribution alors que l alerte avait t donn e ? C est bien la question que se posent encore des familles concern es parl affaire des lots de poudre de lait pour b b contamin epar des salmonelles et fabriqu s par Lactalis. Des familles qui envisagent de porter plainte contreles grands distributeurs,a d clar lundi leur repr sentant. Un certain nombre de familles d poseront plainte dans les jours venir contre les grandes enseignes, les grands distributeurs et notamment les premiers concern s , a d clar Quentin Guillemain, pr sident de l Association des familles de victimes du lait contamin . C est un souhait qui a t exprim , a-t-il ajout lors d une conf rence de presse l issue d une rencontre avec le ministre de l Economie et des Finances, Bruno Le Maire.Des ministres ont soulign la semaine derni re la l g ret des enseignes de distribution dans ce dossier, a encore rapport Quentin Guillemain. La s curit sanitaire des consommateurs n est pas n gociable , a d clar Bruno Le Maire apr s ce rendez-vous, voquant l importance de d terminer les responsabilit s de chacun dans ce domaine : Etat, industriels, distributeurs et plates-formes de distribution. Nous n ach terons pas le silence des familles Au nom des victimes, Quentin Guillemain s est d clar d termin savoir ce qu il s est pass du d but la fin dans cette affaire, se refusant voquer pour l heure la question des indemnisations. Nous ne sommes pas dans le d bat de l indemnisation. Nous n ach terons pas le silence des familles dans cette histoire , a-t-il dit.En son nom propre, Quentin Guillemain avait d s la semaine derni re dit savolont de poursuivre Lactalis.Source: Ouest France. La F d ration nationale des syndicats d exploitants agricoles d nonce la pression la baisse des prix exerc e par les distributeurs et en appelle aux pouvoirs publics. Les n gociations commerciales sont difficiles et compliqu es , a reconnu Christiane Lambert, pr sidente de la F d ration nationale des syndicats d exploitants agricoles (FNSEA), lors de la pr sentation de ses v ux la presse, dans les locaux de l organisation, mardi 9janvier. Elle pr vient que des agriculteurs pourraientmenerdes actions dans les prochains jours pourd noncerla situation.Un constat sans appel, fait alors que les Etats g n raux de l alimentation ont t cl tur s le 21d cembre par le premier ministre, Edouard Philippe. Depuis le 22juillet, tous les acteurs de la fili re agroalimentaire agriculteurs, industriels, distribution mais aussi associations de consommateurs, syndicats et ONG ont men d intensesdiscussionspourtenterder quilibrerles rapports de force.Parmi les objectifs fix s par Emmanuel Macron, celui demettrefin la guerre des prix men e par les enseignes. Une guerre destructrice de valeur et source de prix non r mun rateurs pay s aux agriculteurs. Le pr sident de la R publique s est engag promulguerune loi pour tenter depallierle probl me. Elle devrait trepr sent e le 31janvier , affirme Mme Lambert.La loi ne sera donc pas applicable aux n gociations commerciales entre industriels et distributeurs qui ont d but en novembre et s ach veront fin f vrier pourfixerles prix annuels des produits. Le gouvernement a consid r que l esprit des Etats g n raux allaitinspirerles discussions. D autant que tous les acteurs ont fini parsignerune charte d engagement mi-novembre. Mais les chartes n ont pas valeur de r glementation. Les commerciaux qui vont dans les box de n gociation de la grande distribution se fontmoquerquand ils voquent la charte. Les distributeurs disent qu ils s assoient dessus. C est un baroud d honneur de nombre d entre eux qui demandent des baisses de 2 8% m me sur des produits o la hausse desmati res premi resest av r e. Ils veulent m mefairepayer aux industriels laitiers le manque gagnerqu ils ont eu sur le beurre lorsqu ils refusaient d augmenter les prix et que le beurre partait sur d autres march s , explique Mme Lambert. Elle raconte m me que des m decins dutravailont d conseill des commerciales enceintes d aller dans les box de n gociation pour raison de stress trop lev .La FNSEA a donc crit au minist re de l agricultureet Bercy pourdemanderune r union du comit de suivi Bercy comme le gouvernement s y tait engag .Source: /www.lemonde.fr A Hasparren, le patron du magasin Leclerc Express a d cid de ne plus accorder son aide au CCAS. Mesure de r torsion, apr s le refus municipal de le laisser ouvrir l enti ret des deux derniers dimanches de d cembre 2018Chacun appr ciera l l gance du geste. Hasparren, le patron du magasin Leclerc Express a d cid de ne plus accorder son aide au centre communal d action sociale (CCAS). Des lus locaux voquent le m me traitement appliqu l ensemble des associations jusqu alors sponsoris es par l enseigne. Mesure de r torsion, apr s le refus municipal de la laisser ouvrir l enti ret des deux derniers dimanches de d cembre 2018.L assembl e des diles haspandars s est r unie le 29 novembre dernier. Parmi les dossiers trancher, l urticante ouverture des commerces de la commune les dimanches 23 et 30 d cembre prochains. Plus pr cis ment les apr s-midi, en ce qui concerne Leclerc Express: les boutiques alimentaires pouvaient d j ouvrir le matin. La loi permet depuis 2016 les dimanches du maire . Sur d cision du Conseil municipal, le premier magistrat peut accorder des ouvertures exceptionnelles, dans la limite de 12 dates par an (les communes doivent d cider avant le 31 d cembre de l ann e pr c dente). Cette fois, ce fut non . Et nettement. Vingt votes contre la mesure, sept voix favorables seulement et deux abstentions.Plume acideAffaire classique. Affaire class e ? Nenni. Gilles Gandon, le pr sident de la soci t Sodibay, qui d tient la moyenne surface d Hasparren, prend la plume pour un courrier laconique au maire, Be at Inchausp . Il ne signera plus son ch que traditionnel au CCAS. L association soutient les habitants les plus fragiles, confront s la pr carit .La r daction vous conseilleBayonne: la tatoueuse des rugbymen va ouvrir son mus e du rugbyPays basque: un forcen arm d log par le RaidLe premier magistrat pr side la structure. C est lui qui d cachette la missive revancharde, dat e du 11 d cembre. Gilles Gandon y tire un trait sur l entente jusqu alors en vigueur: Compte tenu de votre position pour l ouverture des commerces sur votre commune les dimanches de d cembre 2018, nous sommes contraints de mettre un terme au partenariat que nous partageons depuis de nombreuses ann es. Et d enfoncer le clou, acide: C est avec un certain regret que nous avons pris cette d cision qui d coule de l avis de votre Conseil municipal. Be at Inchausp r pond l entrepreneur quelques jours plus tard. Il prend acte de l arr t de (sa) g n rosit l endroit des personnes d favoris es de la commune. Sur le fond, je ne peux que d plorer une telle attitude , crit-il. Le maire aussi manie l ironie: Votre conception de l conomie solidaire et d sint ress e ne vous fait pas honneur. Il promet de diffuser tr s largement leur change de correspondances. Ces lignes attestent la parole tenue Pression sur les lus Dans un communiqu , le groupe abertzale de gauche Herritarrekin s l ve contre ce qui (lui) semble scandaleux . Il convient qu un acteur priv n a pas se justifier sur le versement ou non de subventions aux associations . Mais l opposition municipale fustige l attitude qui consiste prendre le secteur associatif en otage et le forcer faire pression sur les lus . Herritarrekin insiste sur l aide au CCAS qui concernait depuis plusieurs ann es l op ration de No l pour les enfants des milieux d favoris s .Selon les lus abertzale, plusieurs associations auraient p tir du coup de sang du chef d entreprise. Et il semblerait que d autres commerces aient utilis le m me argument pour remettre en question leur soutien des associations . Ou comment des acteurs de la vie locale, tr s majoritairement b n voles, se retrouvent victimes collat rales d app tits commerciaux qui les d passent.Mardi soir, nos tentatives de joindre Gilles Gandon s taient arr t es aux portes de son secr tariat.Source: sudouest.fr Les deux femmes ont été mises à pied. La direction leur reproche d avoir utilisé à des fins personnelles un bon d achat destiné à un clientUn rassemblement était organisé ce lundi par la CGT devant le centre commercial Leclerc de la Teste-de-Buch, en soutien à deux caissières de l hypermarché.Elles étaient en effet convoquées pour un entretien préalable à un licenciement après avoir été mises à pied le samedi 28 mai.La direction leur reproche d avoir utilisé à des fins personnelles un bon d achat destiné à un client. Mais selon, Corine Navaro, l une des deux caissières qui est aussi déléguée syndicale CGT, il s agit d une volonté de la direction de l écarter.Depuis son élection au comité d entreprise, la représentante du personnel s est battue pour obtenir de nouveaux droits pour les employés du magasin. Une pugnacité qui selon elle, dérange la direction du magasin.Par le biais de sa juriste, la direction du centre commercial confirme qu une procédure de licenciement est bien engagée à l encontre de deux salariées mais elle refuse de s exprimer sur le fond de l affaire. En revanche, elle précise il est certain que nous ne serions pas engagés dans une telle procédure si nous ne disposions pas d éléments irréfutables qui n ont bien entendu aucun lien avec une quelconque appartenance syndicale. Source: Sud Ouest « On est fliqués ici. Nos vies privées et nos libertés ont été bafouées ». Les salariés du grand supermarché Cora, de Garges-lès-Gonesse sont sous le choc. Lundi, l’inspection du travail les a informés que leurs moindres faits et gestes étaient filmés par les caméras de vidéosurveillance du magasin. À l’intérieur, comme à l’extérieur de l’établissement. De la plaque d’immatriculation de leurs véhicules à la simple sortie du magasin, ces employés ont été filmés, à leurs dépens.Une utilisation des caméras considérée comme « détournée de leur usage initial », selon Marie Paulini, hôtesse d’accueil chez Cora. « Ils souhaitent se débarrasser de nous depuis que l’on a organisé une grève au mois de mars, donc ils veulent trouver la faute qui nous éliminera », dénonce l’employée. Le 25 mars dernier, les délégués du personnel, membres du Syndicat du Commerce Indépendant et Démocratique (SCID), organisent un mouvement de grève pour dénoncer les tensions qui subsistent depuis des années dans le supermarché. « Le directeur du magasin, et la responsable des ressources humaines nous font vivre un enfer, regrette Marie Paulini. Aucun de nous ne travaille dans de bonnes conditions, et cette situation perdure depuis plus de dix ans. Chaque année ça empire, alors nous avons décidé d’agir avec la dernière mobilisation ».p À la suite de la grève, le directeur de l’établissement, Marc Rohner, et la responsable des ressources humaines, Farah Thery, font appel à un huissier de justice et lui transmettent les extraits vidéo des caméras de vidéosurveillance. Le comportement des salariés manifestants y est relaté minute par minute. « On ne pensait pas que la grève était interdite, proteste Serge Camilo, employé et membre du SCID. Ici, c’est la dictature, et le pire, c’est qu’ils ne nous ont pas espionnés seulement pendant la mobilisation ». Le 31 mars, nouveau procès-verbal établi par l’huissier de justice. Cette fois-ci, le responsable de Cora fournit les extraits vidéo dévoilant le quotidien des salariés depuis le 14 mars. Dans le document, les salariés sont mentionnés, leurs allées et venues détaillées. « Sur ce fichier vidéo, on peut voir Mme Paulini faire un achat, puis quitter le magasin en prenant sur le parking un véhicule ». Dans une autre partie du procès-verbal, l’huissier de justice commente un fichier vidéo filmant une salariée située à l’intérieur de Cora : « Madame Paulini est toujours à la cafétéria ». Pourtant, la Commission nationale des libertés et de l’informatique (Cnil) précise que « le système vidéo ne doit pas être utilisé pour surveiller les salariés du magasin, mais à des fins de sécurité des biens et des personnes ». Pour les salariés de Cora, « cette atteinte à la vie privée doit être dénoncée ».Le directeur de l’établissement et la responsable des ressources humaines n’ont pas souhaité répondre à nos questions. Les employés de Cora vont intenter une action devant le conseil de prud’hommes de Montmorency ce vendredi : « Nous allons nous battre jusqu’au bout. Et nous n’hésiterons pas à saisir la Cnil ».Source: Leparisien.fr Michel-Edouard Leclerc n a pas du tout apprécié la critique de Périco Légasse. L homme d affaire reçu dans l émission Le Divan de Marc-Olivier Fogiel mardi 7 juin est revenu sur sa vie de famille et son rapport à l argent.Il a également été confronté à une critique du journaliste Périco Légasse sur sa demande aux agriculteurs de baisser le prix du porc de 4 %. C est un salaud , a simplement fini par dire Michel-Edouard Leclerc pour commenter la critique du journaliste.Visiblement agacé par l attaque de Périco Légasse, le patron des magasins Leclerc a aussi dit ressentir de la pitié pour Périco Légasse qui n existe pas par lui même, avec une idée positive et a besoin de [lui] pour faire son repoussoir source: Le HuffPost Le président de l’Autorité de la concurrence dressait un bilan de son activité de gendarme des pratiques anticoncurrentielle pour 2014. Qui fait apparaître un record pour le montant des amendes infligées aux entreprises pour entente. Il a également évoqué le rapprochement Auchan-Système U et indiqué que 40 magasins Dia sur 50 avaient été vendus à… Auchan et Intermarché. Michel Sapin, le ministre des Finances, a dû se frotter les mains. Même si ce n’est pas l’objectif, l’Autorité de la concurrence a sanctionné les entreprises pour pratiques anticoncurrentielles pour un montant de 1, 014 milliard d’euros en 2014, qui sont versés au budget de l’Etat. C’est un record puisque les amendes culminaient à 160 M€ en 2013, et qu’il faut remonter à 2005 et aux 755 millions d’euros payés par les géants de la téléphonie pour trouver une somme aussi conséquente. En comparaison, le budget de fonctionnement de l’Autorité paraît ridicule : 20 milllions d’euros. Il devrait être augmenté dans la prochaine loi de finances.“Comportements compulsifs”“Nous assumons une politique ferme de dissuasion de certains comportements parfois compulsifs pour entraver la concurrence, indiquait Bruno Lasserre, président de l’Autorité de la concurrence, particulièrement en verve. Les entreprises mettent par ailleurs en balance les risques et les profits, et c’est pourquoi les sanctions anti-trust doivent rester dissuasives”. Par cette voie, il entend aussi participer à la “réinvention” de l’économie, pour la rendre plus compétitive. Il s’est félicité du large champ couvert par les décisions de l’Autorité, qui touche à tous les produits de la vie quotidienne. Source: LSALES ÉNORMES AMENDES DE L’HYGIÈNE ET L’ENTRETIENAinsi, de la décision d’infliger l’énorme amende pour entente, en deux sanctions, des géants des produits d’entretien et de l’hygiène, avec des amendes respectives de 345 et 606 millions d’euros, du jamais vu, qui touche des géants comme Procter, Unilever ou L’Oréal. Au premier semestre, le montant des amendes s’établit à 219 millions d’euros, principalement dû à l’amende de 192 M€ qui a touché le secteur laitier. Une autre enquête, concernant le secteur de l’optique cette fois, pourrait aussi déboucher sur des amendes.AUCHAN SYSTÈME U : PROCHAINE NOTIFICATIONLe président de l’Autorité s’est également longuement attardé sur la distribution. Il a évoqué le rapprochement d’Auchan et Système U. Après de longues discussions tant le rapprochement est complexe, les deux enseignes devraient notifier leur rapprochement à la Commission européenne, qui transmettra le dossier à l’Autorité de la concurrence. “Ce n’est pas une fusion, c’est une alliance, mais les deux enseignes ont annoncé une gouvernance commune pour gérer les enseignes et les magasins, qui va renforcer leur puisssance économique, et c’est contrôlable au titre des concentrations”, a précisé Bruno Lasserre. Reste à savoir si des cessions de magasins seront demandées, comme dans le cas du rachat de Monoprix par Casino et Dia par Carrefour.Dia revendu à… Auchan et IntermarchéConcernant les 50 magasins Dia que Carrefour devait revendre - ou se séparer pour six cas de franchisée, l’opération est en bonne voie. 40 ont déjà été cédés à… Auchan et Intermarché ! Le président de l’Autorité de la concurrence paraît moyennement satisfait que les révisions de périmètre lors des concentrations aboutissent finalement à des échanges de magasins entre les quatre grandes enseignes leaders. Il en rejette la responsabilité aux lois Royer et Raffarin, qui protègent les acteurs économiques en place.Les lois Royer Raffarin protègent des “rentes”“On sait qu’il faut une masse critique de 40 magasins pour qu’une enseigne puisse concurrencer les enseignes qui sont en place. Or, pour obtenir les ouvertures, il faut déposer 40 dossiers devant lesCDAC ! Qui sont aux mains des élus locaux, lesquels n’aiment pas beaucoup les nouveaux entrants. Je le regrette, les lois Royer Raffarin restent un véritable obstacle et expliquent l’échec relatif du hard discount en France. Les enseignes protégent leur rente, et les élus protègent les grandes surfaces en croyant protéger le petit commerce de la concurrence”.En cas de cession de magasins...Autrement dit, si des magasins Système U ou Auchan ou Simply Market devaient être cédés pour obtenir la bénédiction de l’Autorité et éviter tout risque d’entente, ils atterriront chez Casino ou Intermarché… A condition, évidemment, que la notification ait lieu - ce n est pas encore le cas - qu’elle réponde aux lois sur le contrôle des concentrations -c est probable en raison de la puissance économique constituée, même s il n y a pas de fusion, et qu’enfin, aprés examen, si les conditions exigées par l’Autorité pour autoriser le rapprochement ne soient pas trop dissuasifs. C’est ce qui s’est passé lors de l’alliance entre Kingfisher et Mr Bricolage. Pour les deux alliés, les exigences de l’Autorité sur la revente de magasins - une cinquantaine - rendaient le rapprochement trop douloureux.”Ces conditions n’étaient pas négociables, nous sommes restés droit dans nos bottes”, a tenu à préciser le président Lasserre. Des tracteurs et leurs remorques utilisés pour bloquer l accès au parking de l enseigne de grande distribution d Andrézieux-Bouthéon et du fumier déversé à l appel des Jeunes Agriculteurs, une trentaine de personnes s est rassemblée, depuis 8 heures ce vendredi matin, devant l hypermarché Leclerc.Il y a une semaine, dans leur lutte contre la baisse du prix du lait (-10% depuis l automne dernier), les paysans étaient déjà venus demander des explications auprès de la direction de l enseigne. Direction qui les avait renvoyés vers les industriels et les coopératives. Exigeant les factures, ils avaient promis de revenir.C est ce qu ils ont fait ce vendredi matin à Andrézieux-Bouthéon mais également à Riorges. Plus d une trentaine de tracteurs se sont rendus tôt ce matin sur le parking de l hypermarché pour protester contre les tarifs de la grande distribution.Une dizaine de bennes ont déversé fumier, pneus et cagettes devant les entrées du Leclerc, ce matin, à partir de 5 h 30. Les éleveurs manifestaient contre les tarifs du lait, de la viande porcine et bovine.D après un membre de la FNSEA, la grande distribution demande des prix trop bas : « Le phénomène s accentue, c est de pire en pire. » Toujours selon le syndicat, Leclerc n appliquerait pas l accord signé au mois de juin concernant la viande bovine. La direction du magasin de Châteaubriant n a pas souhaité répondre.Les agriculteurs, à bord d une trentaine de tracteurs, ont quitté le parking de l hypermarché vers 6h30. Le ras le bol du discours de la grande distribution, qui nous jure les yeux dans les yeux et la main sur le coeur, qu'elle se bat pour notre pouvoir d'achat... alors que toutes les enseignes font depuis des ann es d' normes b n fices sur le dos des consommateurs...

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