Sir Thomas Browne

Time 2020-11-22 15:06:40

Web Name: Sir Thomas Browne

WebSite: http://penelope.uchicago.edu

ID:123918

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Sir,Thomas,Browne,

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Hydriotaphia, or Urne-Buriall The Garden of Cyrus (1658)The 1st edition, 1658Brampton Urnes (1667; published 1712)The 1st edition, 1712The Miscellany Tracts (1683/4)The 1st edition, 1683/84A Letter to a Friend (date uncertain; published 1690)The 1st edition, 1690Christian Morals (date uncertain; published 1716)The 1st edition, 1716Common Place Books(varying dates; first published 1846)Common Place BooksBiographies of BrowneAnthony Wood: Life of Browne (1692)Life of Sir Thomas BrowneAnonymous: Life of Browne (1712)Life of Sir Thomas Browne,from the 1712 edition of Browne's Posthumous Works; with Whitefoot's Minutes for a life of BrowneJean Niceron: Life of Browne (1733)Life of Browne, from M moires pour servir l'histoire des hommes illustresBiographia Britannica (1748)Sir Thomas BrowneSamuel Johnson: Life of Browne (1756)Life of BrowneNot BrowneBill Thayer's WebsiteLacusCurtius: Into the Roman WorldJames Grout's Encyclop dia RomanaAbout this siteOther texts, not by Browne, on this siteNew This Week(ish)Barbarian Cruelty, an account of an Englishman's slavery in late-17th-century Morocco.FleasPucesImaginez qu'au ch teau de Canaples il tait interdit de servir manger aux heures habituelles des repas, de sorte qu'on allait d je ner, go ter ou collationner, comme on voulait, pourvu qu'on n'appel t pas cela d ner ou souper, dans une esp ce de r fectoire o le buffet se trouvait garni, tant bien que mal, avec des p t s de loutre qu'on fabriquait Wrolland, et des jambons d'ours que M. de Canaples faisait venir de ses plantations du Canada. Il ne pouvait endurer les tournes-broches, qu'il appelait une invention des bourgeois et des financiers. Le r ti se fabriquait chez lui comme au XIIIe si cle, au moyen d'une roue tournante et claire-voie, dans laquelle on enfermait un gros chien qui s'y d menait comme un diable, et qui finissait toujours par en enrager. Vous n'avez pas d'id e de la consommation de caniches et de m tins qu'on faisait dans cette cuisine. La Comtesse tait oblig e de se faire servir par un heiduque ou par des laquais, ce qui fait qu'elle s'habillait et se d shabillait toute seule. Il avait chass toutes ses femmes, en disant que c' taient les femmes de chambre qui donnaient des puces aux chiens.La Marquise de Cr qui, Souvenirs, premier chapitre.

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