SAUVER SES DENTS - Conseiller et informer les patients souhaitant conserver leurs dents : dans le ca

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SAUVER SES DENTS - Conseiller et informer les patients souhaitant conserver leurs dents : dans le cadre de maladies des gencives (parodontites), mobilit s dentaires et d vitalisations complexes. LES MEMBRANES1 Membrane non résorbableLe premier type de membrane utilisée en tant que barrière à la colonisation épithélio-conjonctive fut une membrane millipore (Nyman 1982 ; Gottlow 1984).Plus tard la membrane employée était en polytetrafluoroéthylène expansé (PTFEe) présentée avec ou sans armature de titane.ces membranes doivent répondre à certains impératifs : Ne pas provoquer de réponses inflammatoires ou allergiques être occlusives aux cellules épithéliales et conjonctives, mais en permettant le passage des facteurs de croissance.Etre suffisamment rigide pour maintenir un espace dans lequel la cicatrisation pourra s organiser.Stabiliser le caillot Inhiber l invagination de l épithélium grâce à l adaptation dans la partie cervicale de la membrane d une microstructure ouverte qui forme une barrière.Pour obtenir une régénération osseuse et desmodontale il est nécessaire de laisser la membrane sur une période de 4 à 12 semaines selon les auteurs. Pendant ce temps il ne doit y avoir aucune infection ou exposition de la membrane ce qui compromettrait les chances de succès. Toutefois, certains auteurs (Machtei 1995) ont montré qu une exposition différée d une membrane non résorbable dans les traitements des lésions interradiculaires ne limite pas le pronostic de régénération tissulaire.Cependant, le contrôle de plaque de la zone opérée doit être particulièrement efficace afin d éviter une colonisation bactérienne excessive de la membrane.Les membranes résorbables Elles ont été mises au point pour éviter le 2° temps chirurgical de dépose de la membrane. Elles peuvent être composées soit de collagène bovin de type I, traité aux rayons ? pour supprimer sa capacité antigénique, soit de matériaux synthétiques [acide polyglycolique (PGA), acide polylactique (PLA), mélange de PGA et de PLA], qui permettent de qui permettent de fabriquer des membranes simples (treillis Vicryl® en PGA, ou Resolut ®, en PGA/ PLA) ou complexes (Guidor®, treillis de PGA/PLA associés à des esters d acides citriques, en deux feuillets de maillage différents, doté sur sa face interne de plots d espacement et Atrisorb®, pouvant être associé avec des antibiotiques).Toutes ces membranes doivent être maintenues (sauf Atrisorb® et Resolut®) par sutures de cabestan, en raison de leur relative incapacité à supporter une tension. Leur résorption survient en 75 à 180 jours et ce processus rend ces matériaux non totalement inertes en déclenchant des réactions inflammatoires. Les résultats obtenus avec ces différentes membranes divergent selon les publications, cependant certains auteurs comme Cortellini et al (1996) rapportent de résultats sensiblement équivalents que les membranes soient résorbables ou non. Caractéristiques et avantages• Une double rétention assurant un meilleur maintien de la prothèse• 7 hauteurs transgingivales disponibles s adaptant aux différentes épaisseurs de tissus mous• Un très faible encombrement permettant une adaptation en présence d une hauteur inter-maxillaire réduite• Une surface en nitrure de titane offrant une grande résistance à la mastication • Différents taux de rétention adpatés au confort de chaque patient• Des nylons pour angulation offrant une solution fiable en présence d implants inclinés• Un instrument multifonction simplifiant les différentes étapes Attachement Locator Bénéfices• Bonne stabilité de la prothèse dans le temps • Résistant et confortable lors de la mastication• Simple à nettoyer• Facile à mettre sa prothèse soi-même• Adapté à tous types de patient Indications• Adapté au système Tapered Screw-Vent, L attachement Locator permet de stabiliser une prothèse amovible complète ou partielle sur implants avec efficacité. Résultats cliniques DANS QUELS BUTS ET INDICATIONS REALISER UNE GREFFE GINGIVALE?Stopper l évolution des récessions gingivales.Recouvrir une racine dénudée.Diminuer l hypersensibilité dentinaire liée à cette exposition.Esthétique.Apport préventif de gencive kératinisée si de la prothèse ou un traitement orthodontique est prévu.QU EST-CE QU UNE GREFFE GINGIVALE?Le principe de la greffe gingivale est le suivant : De la gencive est prélevée depuis un site donneur (en général au niveau du palais) ou déplacé, puis greffée sur la zone de la récession gingivale (site receveur).LES DIFFRENTES TECHNIQUES : Il existe de nombreuses techniques Greffe de conjonctif enfoui : On prélève seulement un tissu conjonctif, sans épithélium; il sera glissé sous l épithélium du site receveur.Ce type de greffe permet un recouvrement de la racine et la création de gencive attachée ou de papilles interdentaires.Lambeau déplacé latéralement : On décolle une partie de la gencive et on la déplace. Cela permet un recouvrement de récessions et un apport de gencive. Lambeau déplacé coronairement : Permet de recouvrir une ou plusieurs récessions gingivales. Lambeau positionné apicalement : Permet d augmenter la hauteur du moignon (avant de faire une couronne) Greffe épithélio-conjonctive ou greffe de pleine épaisseur : Le greffon prélevé est total : épithélium kératinisé + conjonctif.Ce type de greffe permet surtout une augmentation et un renforcement de la gencive kératinisée.Elle peut permette un recouvrement plus ou moins important (rarement total) de la racine. NB : Le taux de succès de cette procédure est excellent et son bénéfice va durer toute la vie du patient. La guérison est parfois compromise chez les fumeurs. L’endodontiste utilise des technologies de pointes telles que le microscope opératoire.Le traitement canalaire est réalisé plus facilement grâce à une aide visuelle.L’utilisation de loupes ou d’un microscope permet d’obtenir une meilleure visibilité de l’anatomie canalaire et précise le diagnostic. Le grossissement (2x à 30x) combiné à la lumière fourni par le microscope le rendent indispensable pour assurer une sécurité ainsi qu’une précision lors de l’opération.POURQUOI UTILISER UN LASER EN ENDODONTIE? Le laser est un outil non rotatif et non invasif, c est-à-dire qu aucun instrument ne pénètre dans les tissus de la bouche. La précision du laser évite les dommages aux tissus voisins de l endroit traité. Le laser a des effets de biostimulation qui permettent une régénération et une cicatrisation tissulaire beaucoup plus rapides qu avec les méthodes traditionnelles (bistouri, électrochirurgie,…). L effet antibactérien du rayon laser diminue sensiblement les risques de complications post-opératoires et favorise la cicatrisation. Le laser prévient les caries, grâce au durcissement de l émail dentaire qu il provoque.QU EST CE QU UN TRAITEMENT ENDODONTIQUE?L’endodontie est la discipline de la médecine dentaire qui se rapporte aux maladies de la pulpe dentaire. L’intérieur de la dent est occupé par la « pulpe dentaire », c est-à-dire des vaisseaux et des fibres nerveuses. La pulpe occupe une partie importante de la racine et communique, par l’apex de la dent, avec les tissus environnants de la mâchoire. Les maladies de l’endodonte (partie intérieure de la dent) se manifestent par une inflammation ou infection du système canalaire qui contient la pulpe dentaire. Dans le langage populaire, on appelle cela « une rage de dents » ; c’est un abcès dentaire en formation qui est très douloureux et qui nécessite un traitement chimique et mécanique du système canalaire afin d’éliminer tout tissu infecté, déjà nécrosé, ainsi que les bactéries qui s’y trouvent. Avec le temps, une infection endodontique peut évoluer vers un abcès chronique qui se draine par voie naturelle (fistule), le plus souvent par la gencive.QUAND A-T-ON BESOIN D UN TRAITEMENT DE CANAL?La pulpe dentaire peut être endommagée par une fissure de l émail, une carie profonde ou un accident. Les bactéries peuvent pénétrer la dent et ainsi infecter la pulpe, ce qui cause une douleur ou une inflammation. Il arrive aussi que la pulpe puisse s infecter sans douleur. Votre dentiste pourra remarquer des changements : dans la couleur de la dent, dans l apparence des gencives, dans l os ou la racine de la dent, grâce aux signes perçus à la radiographie. Parfois, si la dent est très endommagée, votre dentiste peut conclure grâce à son examen et aux radiographies que la pulpe de la dent doit être retirée. Dans tous les cas, le traitement de canal peut réduire, même empêcher les symptômes d apparaître et ainsi sauver la dent.QUELLE EST LA PROCEDURE?Etape 1 : L endodontiste peut procéder à une anesthésie locale, s il y a risque de douleur. Etape 2 : Il placera une digue autour de la dent pour la protéger, pendant le traitement, contre les bactéries présentes dans la salive.Etape 3 : Ouverture de la dent pour accéder à la pulpe endommagée.Etape 4 : La pulpe est retirée, le canal est nettoyé et élargi avec des instruments de précision, ainsi que le laser.Etape 5 : Le canal est rempli et scellé avec un matériaux plastique ( gutta-percha) mélangé à un ciment canalaire.Etape 6 : L ouverture de la dent est obturée avec un matériau provisoir ou définitif. Le traitement de canal peut prendre une ou plusieurs visites, suivant la complexité de l anatomie du canal et de l amplitude du dommage causé à la pulpe. Parfois, si l infection s est étendue de la dent à l os - causant ainsi un abcès – l infection doit être drainée avant que le canal ne soit obturé. Votre dent peut rester sensible 1 à 2 semaines après le traitement. Il est rare que vous éprouviez une douleur intense ou une inflammation ; si tel est le cas, votre endodontiste vous prescrira des antalgiques ou des anti-inflammatoires efficaces.POURQUOI CONSULTER UN ENDODONTISTE ?L anatomie canalaire est souvent complexe. Il peut exister une racine ( incisive, canine, prémolaire), ou plusieurs ( prémolaire, molaire). Chaque racine peut être composée d un ou plusieurs canaux avec des ramifications, courbures, calculs, .... Pour bien traiter une dent, il convient de désinfecter la totalité du système canalaire. Or, cela n est pas toujours possible à l oeil nu et avec des instruments classiques . Il est quelquefois nécessaire de traiter une dent à l aide d un microscope opératoire (grossissement jusqu à 25X). Cette aide optique permet de trouver des racines et ramifications invisibles à l oeil nu. L utilisation de Lasers spécifiques permet également au chirurgien-dentiste de réaliser un travail de grande qualité. Les facettes sont de fines pellicules de céramique qui se collent sur les incisives et les canines, voire les prémolaires, pour améliorer leur apparence esthétique. On les compare souvent aux faux ongles .Élaborée dans les années 80, la technique a gagné la pratique courante au milieu des années 2000, suite aux progrès réalisés dans les matériaux et procédés utilisés, notamment pour coller les facettes. De plus en plus attentifs à préserver l intégrité des dents, les chirurgiens-dentistes ont aussi plébiscité les facettes comme une alternative aux couronnes qui nécessitent une taille dentaire plus importante et sont davantage réservées aux dents très abîmées.Les facettes permettent de corriger la couleur des dents lorsque les blanchiments sont insuffisants, leur forme (dents usées, cassées, trop courtes...) et les malpositions légères (petits chevauchements, espaces interdentaires...). Le blanchiment dentaire ou plutôt « éclaircissement dentaire » permet d éclaircir la teinte des dents.Cette technique consiste à utiliser un agent de blanchiment qui traverse l émail, partie translucide de la couronne et décolore la couche dentaire plus ou moins brune sous-jacente.Blanchiment par voie externe à la maison Gouttières ambulatoires sur mesure Le dentiste prend une empreinte des dents et confectionne des gouttières anatomiques sur mesure qui seront appliquées pour une durée variable selon la concentration du produit utilisé mais souvent en nocturne.Ces gouttières anatomiques sont munies de réservoirs sur la partie vestibulaire des dents et permettent donc d encapsuler le produit de blanchiment sur la face des dents et protègent les tissus mous d un éventuel contact avec le produit.Si la concentration de péroxyde d hydrogène de ce produit est supérieure à 0,1 %, il ne peut être utilisé que par un chirurgien-dentiste agréé. Le professionnel de santé peut tout de même laisser son patient l utiliser seul, avec des explications sur le mode d emploi au préalable. Lorsque la concentration dépasse les 6 %, le produit devient impropre à l utilisation.Gouttières ambulatoires prêtes à porter Après contrôle buccodentaire par le dentiste, celui-ci valide le traitement par port de gouttières préchargées et préformées de façon industrielle.Blanchiment par voie externe au cabinet dentaire Séances au cabinet dentaire effectuées par un chirurgien dentiste généralement à l aide de peroxyde d hydrogène ou un peroxyde d hydrogène combiné avec l’urée sous forme de peroxyde ce carbamide.C est la technique utilisant les produits les plus concentrés, pouvant être activés par des accessoires externes comme la lumière ou un diffuseur thermique, mais la majorité des traitements se font sans ces accessoires externes.La séance dure d une demi-heure à une heure ; prévoir deux séances espacées de deux semaines pour un bon résultat ou en complément de gouttières ambulatoires sur mesure.Blanchiment dans les bars à sourire Ce concept, importé des Etats unis, consiste en des séances de blanchiment en centre esthétique.Le client commence par une petite toilette avec une compresse imbibée d’un « activateur de blanchiment » puis il reçoit sur ses dents une gouttière en silicone remplie d un gel à base de perborate de sodium combinée à une lampe électroluminescente froide qui active le processus en agrandissant les pores de l émail dentaire .Ce traitement est disponible dans des instituts de beauté, des spas et chez des chirurgiens esthétiques. L éclaircissement est limité à quelques jours.Attention le perborate de sodium dégage du peroxyde d hydrogène et ces centres ne peuvent utiliser des produits dégageant plus de 0,1 % de peroxyde d hydrogène, la même concentration que les produits trouvés en pharmacie. Ces centres font l objet d une controverse sur leur dangerositéProduits en vente libre Produits vendus en pharmacie ou grandes surfacesCe sont des produits à faibles concentrations. La législation autorise en Europe seulement des produits dégageant moins de 0,1 % de peroxyde d hydrogène.Blanchiment interne dit technique walking bleach Le blanchiment interne consiste à éclaircir une dent dévitalisée de l intérieur. Souvent, les dents dévitalisées prennent une coloration plus sombre, pouvant être inesthétique s il s agit d une incisive centrale supérieure. Dans ce cas on peut, après s être assuré que l obturation canalaire était bien étanche, déposer un produit (perborate de sodium ou un peroxyde d hydrogène adéquat à l intérieur de la dent, et le laisser agir durant une semaine. Invisalign est une technique d orthodontie permettant d’aligner les dents grâce à l’emploi successif de gouttières amovibles translucides personnalisées.C est une méthode qui se veut discrète et invisible, car elle n utilise pas de bagues, de fils, ou de bracketts.La technique Invisalign est un outil orthodontique innovant : ce système transparent et esthétique n est plus limité aux seuls cas relativement simples, mais s adapte aussi aux traitements complexes.En cas de petits encombrements dentaires inesthétiques, quelques mois de traitement par aligneurs transparents peuvent suffire.La méthode repose sur le port d une série d’aligneurs (gouttières dentaires en polycarbonate) permettant de déplacer progressivement les dents de 0,2 mm par gouttière. Chaque aligneur doit être porté 300 heures soit par exemple deux semaines, jour et nuit, à raison de 22 heures par jour, ou trois semaines à raison de 16 heures par jour (tout le temps, sauf lors des repas et du brossage des dents). Ceci permet un déplacement progressif des dents jusqu’à la position finale souhaitée.La durée du traitement et donc son coût final dépendent de la complexité des malpositions dentaires et de la dysmorphose à traiter : de 4 à 24 mois comme tout traitement orthodontique.Avantages du système le système permet des traitements orthodontiques plus discrets. En cas d’extraction dentaire liée au traitement, une dent de remplacement appelée « pontique » peut être incorporée à la demande dans l’appareil pour masquer l édentation.Pour les dents en cours d éruption chez les jeunes enfants (10-12 ans), un espace peut être réservé dans l appareil. L appareil est retiré pour manger et boire des boissons colorées. Le brossage des dents ainsi que les soins locaux en cas de problèmes de gencives sont facilités. L’appareil peut être enlevé en cas de rendez-vous important. L’aligneur peut être inséré sur la majorité des types de dent, naturelles ou prothétiques : prothèse fixe implanto-portée ou non, définitive ou provisoire, ou prothèse amovible résine et métallique. Il peut aussi servir de diffuseur de médicament en cours de traitement orthodontique : produits de blanchiment dentaire ou gel à la chlorhexidine. Il permet de ne pas déclencher de phénomènes allergiques aux métaux comme le nickel, car il est en polycarbonate (plastique).Mais il faut savoir que les problèmes allergiques liés au nickel, sont, en bouche, avec du matériel de qualité, quasi inexistants. Inconvénients[modifier le code] Le patient doit être extrêmement sérieux dans le port de ses aligneurs et les conserver 22 heures par jour, tous les jours, les changer toutes les deux semaines sans se tromper, et également disposer les accessoires thérapeutiques (élastiques de traction dentaire ou inter-maxillaire) qui auraient été prescrits.Par ailleurs, si le patient perd ses aligneurs, ou les endommage en les manipulant, cela peut entraîner un ralentissement des déplacements dentaires et la commande de nouveaux aligneurs. Les limites de l’appareil sont dues à deux facteurs ; les capacités du praticien à utiliser le système et les capacités du système lui-même à déplacer les dents.Les capacités du praticien à utiliser le système : la connaissance du système va s’améliorer avec son utilisation, mais au départ il vaut mieux limiter les thérapeutiques à de petits déplacements : fermeture de diastèmes (espaces entre les dents) et encombrements légers, pour bien s’imprégner de la biomécanique des aligneurs et maîtriser la stratégie de simulation thérapeutique par logiciel.Les capacités du système à déplacer les dents : il existe actuellement des limites de déplacement des dents par les aligneurs, certains mouvements, comme la correction des rotations, s’avèrent difficiles. Le collage de taquets en composite sur les dents est souvent nécessaire pour permettre à l aligneur de déplacer la dent. Les corrections squelettiques : expansion transversale importante, insuffisance verticale et excès vertical marqués.Il faut alors envisager un traitement combiné à de la chirurgie orthognatique. Les corrections dentaires, liées à la morphologie et à la position des dents (dents anatomiquement rondes qui manquent d’adhérence dans l’aligneur, dents présentant des ingressions ou des egressions importantes). Il faudra alors envisager un traitement combiné à des accessoires ; attachements, élastiques, chaînettes… En France, le coût d un traitement par ce système n est en général pas supérieur à celui des méthodes plus classiques.En France les caisses primaires d assurance maladie (CPAM) ne prennent en charge les soins orthodontiques que sur une période maximum de six semestres, pour une somme maximum semestrielle de 193,50 euros et à condition que les soins aient débuté avant le seizième anniversaire.Les organismes complémentaires (assurances ou mutuelles) interviennent parfois au-delà. Compter de 3 900 à 6 000 euros pour des cas complexes (avec chirurgie par exemple). Pour information, le coût d un traitement orthodontique multi-attache « conventionnel » métallique chez l adulte, se situe entre 2 000 et 3 900 euros Les différents types :- Les Fissures Elles sont minimes et se retrouvent sur la surface externe de l émail. On les retrouve souvent sur les dents des adultes, elles sont indolores et n alternent pas l apparence de la dent. Aucun traitement endodontique n est nécessaire.- La Fracture coronaire Lorsque la pointe d une cuspide sur laquelle on mastique (pointe d une molaire) est affaiblie, elle se fracture. Ce genre de fracture n endommage pas nécessairement la pulpe, donc le traitement endodontique n est pas toujours nécessaire pour conserver la dent. Pour la solidifier, une couronne devra être placée par votre dentiste.- Fêlure verticale Il y a 2 sortes de fêlures : une qui s étend de la surface de mastication jusqu au début de la racine sans que cette dernière ne soit distinctement fêlée. La pulpe est souvent endommagée et le traitement de canal est nécessaire pour soigner la pulpe. Une couronne est nécessaire pour garder la dent entière. L autre type de fêlure s étend plus loin que la ligne de la gencive, donc il y a aussi fêlure de la racine : l extraction s impose. Aucun traitement ne guérira la dent.- Fissure verticale d une portion de la dent et de la racine un tel type de fêlure est le résultat d une dent craquée qui n a pas été traitée. On le reconnaît par une fente distincte qui fait que les morceaux peuvent être séparés. La dent ne peut être sauvée intacte cependant, la position de la fêlure déterminera si une portion de la dent peut être sauvée. Dans de rares cas, un traitement endodontique, une couronne ou une autre restauration peuvent être considérées comme traitement par votre dentiste afin de sauver une portion de la dent.- Fracture verticale de la racine Ce type de fêlure est distinct, elle commence au bout de la racine puis remonte vers la surface de mastication de la dent. Parce que presque aucun ou peu de symptômes sont ressentis, la fêlure passe souvent inaperçue. C est lorsqu il y a une manifestation d infection autour de la racine qu on se rend compte qu il y a une fracture. Une extraction de la dent est le traitement suggéré.Une dent fracturée ne guérira jamais. Malgré le fait qu une couronne puisse être placée sur la dent fracturée afin de la solidifier, cela ne garanti pas le succès de tous les cas. La règle impérative préalable à toute activité thérapeutique (sauf circonstances particulières tels l’urgence des soins, l’impossibilité de consentir ou le refus du patient d’être informé) est le consentement du patient : le consentement libre et éclairé s’impose de façon constante (article L. 1111-4, al. 3 du Code de la Santé publique : aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consen- tement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment . “L’obligation d’information découle de la relation contractuelle entre le médecin et son “client” (A. Béry)”. Il se forme entre le médecin et son client un véritable contrat, comportant pour le praticien l’enga- gement sinon de guérir le malade, du moins de lui donner des soins non pas quelconques, mais consciencieux, attentifs et, réserve faite de cir- constances exceptionnelles, conformes aux données acquises de la science” (arrêt Mercier de la Cour de Cassation du 20 mai 1936). Un document de décharge n’est ni licite ni exonératoire a priori, de la responsabilité thérapeutique ultérieure, mais l’information du malade peut, dans la perspective du recueil de son consentement éclairé, être étayée par un document rédigé et analytique des différentes séquences opératoires et postes de soins afférents. Si l’on doit se garder se rédiger toute forme de décharge, on pourra cependant opter pour un document informatif clairement établi, lu, approuvé et signé par le patient où pourront apparaître en concurrence : les paramètres directeurs de l’indication thérapeutique, les avantages thérapeutiques escomptés et les bénéfices que l’on peut attendre de certains protocoles opératoires, mais aussi les astreintes et les risques encourus par la mise en jeu d’une thérapeutique choisie, tant pré- que post-opératoire. L obligation de conseil L’obligation de “conseil” se situe au-delà de la simple mission d’information, elle relève d’un parti pris thérapeutique du clinicien préalablement guidé par l’intérêt de son patient. Le patient vient en effet, fréquemment quérir une solution thérapeutique spécifiquement adaptée à sa ou ses pathologies plutôt qu’une simple information de principe. Le médecin est tenu d’une obligation particulière d’information vis-à-vis de son patient et il lui incombe de prouver qu’il a exécuté cette obligation : ce renversement de la charge de la preuve qui incombe désormais au praticien a posé dès lors “de nombreuses questions sur le fait de savoir comment cette preuve pourrait être rapportée en cas de contestation du patient”. Les preuves de cette information peuvent être faites par tous les “moyens” (qui sont l’écrit, les témoignages, les présomptions, que les magistrats admettent lorsqu’elles sont “graves, précises et concordantes”). De nos jours, l’acquisition du consentement du patient relève d’une démarche assez approfondie qui prend en considération non seulement les aspects structurels de la relation thérapeutique mais également ses fondements juridiques, éthiques et déontologiques (alinéa 1 de l’article 27 du Code de Déontologie – référence à des soins éclairés conformes aux données acquises de la science-, article 32 – référence à un aspect important de la communication médicale où il peut être légitimement requis une absence d’information). L information complète pré-requise Cependant, si le consentement d’un patient est fonction d’une information conforme, cette conformité devra intégrer l’actualisation des orientations et principes thérapeutiques susceptibles d’être proposés : il faut intégrer, à l’information relative aux “soins conformes aux données acquises de la science”, les éléments d’actualité susceptibles d’éclairer le patient sur les soins proposés (loi du 4 mars 2002 qui utilise la notion de “données avérées”). Le Code de la Santé Publique, réalise la synthèse des impératifs liés à la délivrance d’une information complète pré-requise (article L. 1111-2, al. 1) : “cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus”. La loi du 4 mars 2002, étend le champ de l’obligation d’information à des éléments non directement de nature médicale (frais occasionnés par des activités de prévention, de diagnostic et de soins avec leurs conditions de prise en charge. Le consentement éclairé recherché auprès du patient doit lui permettre de disposer d’un délai de réflexion avant qu’il ne soit amené à consentir. Il faudra prendre en considération les éventuelles difficultés à conclure le contrat médical, difficultés relatives à des situations particulières (traitements en urgence chez des mineurs, chez des adultes non “légalement” capables) : dans ce cas, il faut appliquer le principe de “protecteur naturel”.Conclusion En conclusion, le concept de consentement éclairé du patient connaît aujourd’hui un développement très sensible qui porte à la fois sur le développement des techniques médicales, leur diversité, mais aussi sur les conditions de recevabilité des protocoles par les malades. L’odonto-stomatologiste se trouve impliqué par un cahier des charges assez strict qui s’intègre à la fois à la proposition thérapeutique, mais aussi à son devenir. Le secret médical est défini par le législateur à l’article L. 1110-4 du Code de la santé publique (loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé). Il s’inscrit dans le champ plus large du respect du secret professionnel tel qu’il est défini par le Nouveau Code pénal (articles 226-13 et suivants dudit Code). Sa violation est sanctionnée. Il est un élément fondateur du Code de déontologie des chirurgiens-dentistes codifié aux articles R. 4127-206 et suivants du Code de la santé publique. Ainsi, la première phrase de l’article R. 4127-206 du Code de la santé publique rappelle que : le secret professionnel s’impose à tout chirurgien-dentiste, sauf dérogations prévues par la loi . Le strict respect du secret professionnel doit donc conduire à l’interdiction pour tout chirurgien-dentiste d’adresser directement à l’organisme complémentaire, tout document ou pièce comportant des informations médicales. Le champ des informations couvertes par le secret médical est extrêmement large : le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du chirurgien-dentiste dans l’exercice de sa profession, c’est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris (art. R. 4127-206 du code de la santé publique). Le chirurgien-dentiste ne doit rien révéler à quiconque de ce qu’il a appris à l’occasion des soins donnés (obligation de ne pas faire). En outre, en vue de protéger le secret professionnel, les textes mettent à la charge des chirurgiens-dentistes de véritables obligations de faire. Ainsi, les chirurgiens-dentistes doivent : veiller à ce que les personnes qui les assistent dans leur travail soient instruites de leurs obligations en matière de secret professionnel et s’y conforment (article R. 4127-207 du Code de la santé publique) ; veiller à la protection contre toute indiscrétion des fiches cliniques, des documents et des supports informatiques qu’ils peuvent détenir ou utiliser concernant des patients (article R. 4127-208 du Code de la santé publique) ; faire en sorte que l’identification des patients soit impossible lorsqu’ils utilisent leurs observations médicales pour des publications scientifiques (article R. 4127-208 du Code de la santé publique). La jurisprudence, tant administrative que judiciaire, a précisé que le secret médical revêt un caractère général et absolu, et qu’il n’appartient à personne d’en affranchir les professionnels qui en sont dépositaires. Ainsi : le patient ne peut délier le chirurgien-dentiste de son obligation de secret ; cette obligation ne cesse pas après la mort du malade ; le secret s’impose même devant le juge ; le secret s’impose à l’égard d’autres professionnels de santé dès lors qu’ils ne concourent pas à un acte de soins ; le secret s’impose à l’égard de personnes elles-mêmes tenues au secret professionnel (agents de services fiscaux, par exemple). Les dérogations au secret professionnel : les dérogations au secret professionnel sont justifiées par la nécessité d’établir une communication maîtrisée des informations médicales. Seule une loi peut les instituer. Mais, attention, les dérogations légales prescrivent ou autorisent seulement une certaine révélation. Il faut s’en tenir à une information nécessaire, pertinente et non excessive. L’obligation au secret demeure pour tout ce qui n’est pas expressément visé par le texte. On peut distinguer deux types de dérogations au secret professionnel. Pour certaines dérogations (les maladies à déclaration obligatoire, privations ou sévices infligées à un mineur ou à certaines personnes), le chirurgien-dentiste est obligé de révéler l’information. Pour les autres, le chirurgien-dentiste est simplement autorisé par la loi à révéler l’information. Est également reconnu au nom du secret partagé l’échange entre le praticien traitant et le praticien-conseil du service médical de la sécurité sociale, lui-même tenu au secret. L’échange de renseignement n’est autorisé qu’à certaines conditions. Attention, il n’existe pas en revanche de secret partagé entre le praticien traitant et les praticiens consultants des organismes complémentaires d’Assurance Maladie. En outre, il appartient au chirurgien-dentiste de s’assurer que les modes de transmission informatisés de données médicales répondent aux garanties de confidentialité indispensables au bon respect du secret professionnel. En conclusion, la notion fondamentale du secret médical veut que seul le patient ait le droit de disposer de son secret. Le devis est la propriété du patient, et sa communication se fait sous sa seule responsabilité. D’ailleurs, à chaque examen de protocole, le Conseil national de l’Ordre rappelle toujours ce principe selon lequel c’est au patient d’adresser le devis ou tout autre document* à son organisme complémentaire et non au praticien. * le patient est en droit de demander son cliché, le praticien ne peut le lui refuser, il est conseillé, pour des radiographies argentiques, de demander une décharge, l’organisme complémentaire peut demander ce qu’il souhaite à son adhérent, il n’appartient pas aux chirurgiens-dentistes d’adresser la radiographie à l’organisme complémentaire mais au patient. Conseiller et informer les patients souhaitant conserver leurs dents : dans le cadre de maladies des gencives (parodontites), mobilit s dentaires et d vitalisations complexes.

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