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maroc sante news - Con u pour le domaine de la sant , vous y trouverez plusieurs articles concernant des pathologies de diff rente sp cialit L urologie; virologie; psychiatrie; gyn cologie et autre j esp re qu il soit a la hauteur de vos ambition merci Con u pour le domaine de la sant , vous y trouverez plusieurs articles concernant des pathologies de diff rente sp cialit L urologie; virologie; psychiatrie; gyn cologie et autre j esp re qu il soit a la hauteur de vos ambition merci Ce que chaque femme et chaque famille sont en droit de savoir sur La maternité sans risques Toute femme enceinte doit se faire examiner dans un établissement de santé au moins quatre fois pendant sa grossesse. Toute grossesse comporte un risque. Ces complications sont généralement imprévisibles. Il est aussi important de demander conseil à une personne qualifiée (médecin, infirmière ou sage-femme) pour décider du lieu de l’accouchement. Comme des problèmes de santé peuvent surgir sans prévenir pendant la grossesse, pendant l’accouchement ou juste après la naissance, toutes les familles devraient savoir où se trouve l’hôpital ou la maison d’accouchement la plus proche pour y faire transporter la femme à toute heure du jour ou de la nuit en cas d’urgence. Lorsque la naissance risque d’être difficile ou dangereuse, la mère devrait décider d’accoucher dans un hôpital ou une maternité. Tous les accouchements, surtout les premiers, sont plus sûrs dans une maternité ou un hôpital. Quelles sont les situations qui doivent amener le couple à consulter un médecin pour éviter unegrossesseà risque? 1. avoir eu un enfant moins de deux ans auparavant 2. avoir moins de 18 ans ou plus de 35 ans 3. avoir déjà donné naissance à quatre enfants ou plus 4. avoir déjà accouché d’un bébé prématuré ou pesant moins de 2 kilos à la naissance 5. avoir déjà eu un accouchement difficile ou une césarienne 6. avoir déjà fait une fausse couche ou mis au monde un enfant mort-né 7. peser moins de 38 kilos avant la grossesse Les femmes, les maris et les familles doivent connaître les situations qui peuvent occasionner une grossesse difficile: Quelles sont les signes qui doivent alerterle couple? Signaux d’alarme pendant la grossesse indiquant la nécessité de soins médicaux immédiats 1. Pas de prise de poids: une femme enceinte devrait prendre au moins 6 kilos en cours de grossesse 2. Anémie: l’intérieur des paupières est pâle (au lieu d’être rose ou rouge), grande fatigue ou essoufflement rapide 3. les jambes, les bras ou le visage sont anormalement enflés 4. la femme enceinte ne sent pas ou plus les mouvements du fœtus 5. légères pertes de sang ou saignements vaginaux en cours de grossesse ou saignements abondants ou persistants après l’accouchement 6. violents maux de tête ou douleurs abdominales 7. vomissements violents ou persistants 8. fortes poussées de fièvre 9. rupture de la poche des eaux avant la fin de la grossesse 10. convulsions: mouvements anormaux et brusques affectant la maman avec ou sans perte de conscience Les femmes, les maris et les familles doivent connaître lessignaux d'alarme pendant la grossesse et l'accouchement: L’apparition d’un de ces signes doit faire amener à une consultation médicale d’urgence. Prurit et grossesse Toutes les étiologies de prurit peuvent se rencontrer au cours d'une grossessemais trois sont plus spécifiques Un bilan hépatique comprenant le dosage des acides biliaires totaux sériques et une biopsie avec étude en immunofluorescence directe de toute lésion dermatologique associée permettent de distinguer les trois diagnostics majeurs spécifiques de la grossesse: · la pemphigoïde gestationis · les dermatites papuleuses et prurigineuses · la cholestase gravidique. La pemphigoïde gestationisest une dermatose bulleuse, acquise, auto-immune, très rare, qui survient au 3e trimestre de la grossesse. Les bulles cutanées apparaissent dans la région péri-ombilicale. La guérison est complète dans le post-partum mais la récidive est systématique au cours des grossesses ultérieures. Le diagnostic repose sur l'immunofluorescence directe. Le pronostic foetal paraît bon mais reste controversé. La corticothérapie systémique est nécessaire dans la plupart des cas. Les dermatites papuleuses et prurigineusessont les dermatoses spécifiques les plus fréquentes. L'éruption polymorphe respecte la région ombilicale et débute sur les vergetures abdominales. Les pronostics maternel et foetal sont excellents. Ce diagnostic est un diagnostic d'élimination. La cholestase gravidiqueest caractérisée par un prurit isolé s'aggravant jusqu'à l'accouchement et régressant rapidement dans le post-partum. Sa pathogénie, multifactorielle, reste méconnue. L'évolution à distance est soumise à de grandes variations inter-individu. L'élévation importante des acides biliaires sériques, sans être pathognomonique, oriente le diagnostic. Le traitement maternel est symptomatique. Si les risques de prématurité sont accrus, la mortalité périnatale n'est pas augmentée et une expectative armée est souhaitable, favorisant le déclenchement du travail après l'acquisition de la maturité pulmonaire foetale. ============================================ Grossesse et prurit Regnier S et coll. : A case-control study of polymorphic eruption of pregnancy. J Am Acad Dermatol 2008 ; 58 : 63-7 L’ensemble des dermatoses prurigineuses de la grossesse, en dehors de la pemphigoïde et du prurit cholestatique, ont été regroupées sous le terme d’éruptions polymorphes de la grossesse (EPG) qu’il s’agisse d’urticaires, d’éruptions à type de prurigo ou de folliculites prurigineuses pour citer les plus fréquentes d’entre elles. Ces éruptions surviennent préférentiellement au 2ème et au 3ème trimestre. Une étude prospective a été conduite, à l’hôpital Tenon, pour rechercher les facteurs prédisposant à la survenue d’une telle éruption. Deux cents femmes enceintes ont été suivies, 40 présentaient une EPG tandis que les autres n’avaient pas de manifestation cutanée. En analyse multivariée, il apparait que deux évènements sont statistiquement associés à la survenue d’une EPG : · un fœtus de sexe masculin · un accouchement nécessitant une césarienne. Il n’y a aucune explication pour de telles associations mais on connaît la prévalence plus forte de certaines autres complications de la grossesse (diabète gravidique ou cholestase hépatique) lorsque l’enfant attendu est un garçon tandis que d’autres travaux antérieurs, parfois contredits, avaient déjà souligné la plus grande fréquence des grossesses avec fœtus masculin en association avec la PUPPP (Pruritic urticarial plaques and papules of pregnancy). Qu'est ce qu'un phlegmon ? Les tendons fléchisseurs sont entourés d'une gaine, étendue de la base de P3 à la tête du métacarpien correspondant. Cette gaine est tapissée intérieurement d'un tissu synovial qui circonscrit une cavité virtuelle remplie du liquide synovial. L' infection de cette gaine s'appelle un phlegmon. Deux modes de contamination sont à distinguer : · inoculation directe par un agent vulnérant : lors d'une piqûre septique ou d'une plaie de la gaine, les germes peuvent se propager rapidement le long du tendon. · inoculation indirecte par diffusion au contact de la gaine à partir d'un foyer infectieux voisin. C'est une infection grave, d'évolution très rapide qui peut laisser des séquelles si elle n'est pas précocement diagnostiquée et traitée. Quels sont les signes cliniques ? Quelques heures à quelques jours après le traumatisme (plaie par couteau, tournevis, piqûre, griffure, morsure…) apparaissent un gonflement du doigt, des douleurs sur le trajet du doigt, dans la paume voire au pli du poignet. Étendre le doigt est désagréable et la pression du cul de sac de la gaine est douloureuse. Plus tardivement, le doigt devient rouge, gonflé, la douleur est insomniante et l'extension du doigt impossible, prenant une attitude en crochet. Des ganglions peuvent apparaître ainsi qu'une lymphangite et de la fièvre. Il existe 3 stades successifs : · stade 1 :synovite exsudative qui distend la gaine des fléchisseurs ; le liquide est louche ou clair, anormalement abondant et la synoviale est inflammatoire. · Stade2 :synovite purulente ; l'atteinte de la synoviale est irréversible mais le tendon est encore intact. · Stade 3 :nécrose infectieuse du tendon Quel est le traitement ? Le traitement est toujours chirurgical car les antibiotiques seuls sont incapables de pénétrer dans la gaine des tendons. Le traitement consiste exciser l'ensemble du trajet de la plaie en bloc. · Dans le stade 1, un abord proximal dans le cul de sac permet de réaliser un prélèvement et d'effectuer un lavage de la gaine du tendon. S'il existe du pus dans la gaine, une ouverture complète du doigt est justifiée pour permettre d'enlever toutes les zones infectées ou nécrosée. · Dans le stade 2, le doigt est ouvert sur toute sa longueur et une synovectomie complète est pratiquée, en respectant la continuité mécanique des poulies. Les lavages sont multiples. La fermeture est incomplète pour accéder au site infecté. · Dans le stade 3, une résection partielle ou complète du tendon est parfois nécessaire, avec une cicatrisation dirigée ultérieure ou des lambeaux locaux. Après le traitement chirurgical, une antibiothérapie complémentaire peut être prescrite en fonction de la gravité de la lésion et du germe retrouvé. Quels sont les risques spécifiques ? L'évolution est favorable si le traitement est réalisé précocement. Si l'infection est déjà importante, l'apparition secondaire d'adhérences est responsable d'enraidissement du doigt. Dans les formes vues et traitées trop tardivement, le tendon est nécrosé et doit être enlevé. Le doigt reste en crochet permanent et l'infection peut au maximum aboutir à l'amputation. DEFINITION: Elle se caractérise par une thrombophlébite suppurée du tissucellulaire sous cutané, avec nécrose de la peau desorganes génitaux externeschez l'homme, dans un tableau de septicémie (bacilles Perfringens, germes anaérobies, streptocoques). C'est une urgence médico-chirurgicale EPIDEMIOLOGIE Il s'agit d'une infection exceptionnelle, très grave et à forte mortalité. PHYSIOPATHOLOGIE Elle survient chez des patients présentant fréquemment un terrain immuno-déprimé (diabète, mal nutrition...). Le point de départ : Abcès anal Fistule uréthrale (urines infectées)Elle évolue en 2 phases : -Invasion: apparition d'un oedème et d'un érythème au niveau des organes génitaux externes, thrombophlébite suppurée des vaisseaux sous-cutanés (empêche la diffusion des antibiotiques), septicémie -Nécrose: apparition de plaques noirâtres de nécrose, syndrome infectieux grave, dégradation de l'état général aboutissant souvent à la mort par choc septique DIAGNOSTIC LE DIAGNOSTIC SE POSE DEVANT: Signes fonctionnels:Oedème et un érythème des organes génitaux externes Gangrène et nécrose cutanée du scrotum et du fourreau de la verge Complications:Choc septique (anaérobie, gram - ) LE DIAGNOSTIC REPOSE SUR: Clinique;Confirme le caractère infectieux de la gangrène Odeur fétide Aspect infiltré du tissu cellulaire sous-cutané Crépitement inconstant (emphysème sous-cutané à anérobies) Recherche le point d'entrée Urines infectées Globe TR (abcès anal) : Examens complémentaires:Le diagnostic est clinique , Scanner, si besoin, apprécie l'étendue des lésion sous-cutanées LE DIAGNOSTIC IMPOSE: D'éliminer (diagnostic différentiel)Les autres causes D'oedème et d'érythème des organes génitaux externes. La nécrose et l'odeur fétidevont vite redresser le diagnostic. LE DIAGNOSTIC IMPOSE: D'en rechercher les causes (diagnostic étiologique)Abcès anal: TR Rectoscopie Fistule uréthrale:(urines infectées) UIV Echographie vésicale pré et post mictionnelle LE DIAGNOSTIC IMPOSE: D'apprécier le retentissement de la maladie Sur l'organeSous estime toujours l'importance des lésion sous-cutanées Sur l'organismeChoc septique EVOLUTION / COMPLICATIONS: Même traitée, l'évolution peut êtredéfavorable(gangrène gazeuse) TRAITEMENT:MédicalAntibiothérapie (couvrant lesanaérobies) ChirurgicalExcision large, souvent délabrante de tous les tissus nécrotiques Suppression porte d'entrée: Colostomie de décharge Cathéter sus-pubien A distance :greffe cutanée Cérumen Introduction Mélange de substances de consistance molle, de coloration jaunâtre, grasse et d'aspect cireux, sécrété par les glandes sébacées. Ces glandes sont situées au fond du conduit auditif externe. Ce mélange contient également des squames (minuscules débris de peau), des bactéries (staphylocoque), des corynébactéries (variété de bactéries), de la poussière, des graisses (oléines et stéarines), des sels minéraux et de l'eau. Physiologie Le cérumen a pour rôle de lubrifier et de protéger les constituants de l'oreille moyenne (arrêt des poussières et des petits corps étrangers). Son dessèchement (déshydratation) et son accumulation (utilisation de coton tige) entraînent la formation d'un «bouchon» pouvant être à l'origine de pathologie de l'oreille comme des bourdonnements d'oreille. Les bouchons de cérumen sont également susceptibles d'empêcher une bonne audition. Traitement L'ablation d'un bouchon de cérumen peut être effectuée par la personne elle-même, à condition d'en avoir l'habitude et d'utiliser des moyens adaptés. L'évacuation du bouchon de cérumen doit être réalisée à l'aide de sérum physiologique (eau salée à 9 neuf pour 1000) réchauffé, mais non brûlant et d'une seringue relativement grosse. Préalablement, le ramollissement du bouchon aura été obtenu par une substance adaptée (céruménolytique). La difficulté réside dans l'orientation à donner à la seringue qui doit épouser celle du conduit auditif externe. Alimentation et ballonnements Les personnes sujettes aux ballonnements et aux gaz intestinaux doivent éviter certains aliments. Mais lesquels? Voici une petite liste des aliments favorisants les troubles intestinaux et flatulences : Viandes : Abats, gibier, charcuterie, viandes en sauces Légumes : Haricots blancs, choux, légumes secs, concombres, épinards, navets, radis, ail, céleri, oignons, artichauts, poivrons, aubergines, salsifis, petits pois, pommes de terre, crudités de légumes durs (carottes) Oeufs : frits, omelette Poissons : gras, fumés (thon, maquereau, hareng, saumon) Céréales : Pain frais, pain de mie Laitages : Lait entier, fromages fermentés Matière grasse : Graisses cuites Fruits : Fruits secs, gras (noix, amandes, noisettes), figue, cerise, fraise, framboise, abricot, melon Boissons : Jus de pommes, jus de raisin, boissons gazeuses, boissons alcoolisées, boissons glacées, bière Vous vous demandez ce qu'il reste quand on a éliminé tout cela de son alimentation? Et bien voici la liste des aliments autorisés quand on souffre de flatulences : Viandes : Viandes grillées, rôties, bouillies. Jambon blanc, volailles Légumes : Haricots verts, salade, asperges, betteraves, poireaux, courgettes, tomatesépluchéesetépépinées, bouillons de légumes Oeufs : Coques, pochés, durs Poissons : Poissons grillés, au court-bouillon, en papillote Céréales : Biscottes, pain grillé. Riz, pâtes, farine, semoule Laitages : Lait demi-écrémé, fromages à pâte cuite, yaourts Matière grasse : Huiles végétales, beurre cru Fruits : Poires, pêches mûres, raisin, compotes Boissons : Eau, thé et café légers, infusions Il reste de quoi faire! Conseils pour limiter les ballonnements intestinaux Les ballonnements intestinaux ont plusieurs causes. Ils peuvent être dûs à un excès d'air avalé pendant le repas, une prédisposition chez certaines personnes, un manque d'activité physique, une mauvaise position pendant et après le repas, des troubles de la digestion, le choix d'aliments favorisants les ballonnements. Voici quelques conseils simples pour limiter l'apparition du ballonnement intestinal : Prendre ses repas à heures régulières Manger lentement, calmement, en mastiquant correctement Eviter les repas trop copieux, trop gras, trop épicés Limiter la consommation d'aliments favorisants les ballonnements Eviter la position allongée après le repas et les vêtements trop serrés au niveau du ventre Eviter les chewing-gums, le tabac, l'alcool et les excitants Limiter le stress Faire de l'exercice physique (marche, natation) Quelques aliments réputés pour donner des ballonnements Traitement des ballonnements ou des gaz intestinaux par les huiles essentielles Par Véro, mardi 1 avril 2008 à 14:13-Aromathérapie-Tags Les troubles de la digestion sont fréquents. Flatulences, gaz intestinaux, ballonnements, météorisme intestinal, spasmes, aérophagie, coliques douloureuses sont autant de termes utilisés pour les décrire. Les premières dispositions à prendre sont des règles hygiéno-diététiques : prendre ses repas à heures fixes, prendre le temps qu'il faut pour manger, prendre ses repas assis et le buste droit ou encore éviter certains aliments favorisant la fermentation. De nombreuses plantes ont des propriétés carminatives, c'est-à-dire qu'elles facilitent l'expulsion et la résorption des gaz. Les huiles essentielles apportent aussi un bénéfice incontestable dans le traitement naturel des ballonnements. Je vous recommande cette petite formule à utiliser par voie orale : 1 goutte d'huile essentielle de Cardamome 1 goutte d'huile essentielle d'Aneth herbe 2 gouttes d'huile essentielle de Basilic le tout sur un comprimé neutre à prendre trois fois par jour après les repas. Cette préparation est contre-indiquée chez l'enfant de moins de 12 ans et chez la femme enceinte ou allaitante. L'huile essentielle de Cardamome(Elettaria cardamomum) agit contre la putréfaction et la fermentation intestinale. C'est un excellent tonique digestif. L'huile essentielle d' Aneth(Anethum graveolens, o.p : parties aériennes fructifiées) est drainante, elle purifie les intestins. Prudence, elle contient des cétones. L'huile essentielle de Basilic(Ocimum basilicum) est anti-spasmodique. Elle peut également être utilisée enmassagecirculaire de l'abdomen. Mélanger alors 5 gouttes d'huile essentielle de Basilic, 5 goutte d'huile essentielle de Lavande officinale pour une cuillère à soupe d'huile végétale. L'extension de l'AMO aux soins ambulatoires sera opérée le 1-er février ( CNSS/ANAM) L'extension de l'Assurance maladie obligatoire (AMO) aux soins ambulatoires sera effectuée comme prévu le 1-er février, font savoir vendredi, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) et l'Agence Nationale d'Assurance Maladie (ANAM). ''La date de mise en oeuvre du 1-er février (de L'AMO), prévue par le décret d'application publié le 4 janvier 2010 au Bulletin Officiel, sera respectée'', soulignent les deux organismes dans un communiqué qui fait remarquer ''qu'aucun report n'est ni décidé ni même envisagé'' comme cela a été rapporté par un média. Le scénario de l'extension, qui a été à la base de la décision du conseil d'administration de la CNSS, correspond exactement à celui de l'ANAM, poursuit le communiqué. Les deux organismes font savoir également que l'engagement de maintenir le même taux de cotisation de l'AMO sur la période de cinq années est respecté et n'a fait l'objet d'aucune modification. Le communiqué indique, également, que la CNSS a d'ores et déjà procédé à la mise en place de tous les dispositifs requis pour rendre opérationnelle cette extension avant de conclure que les équipes des deux organismes restent mobilisées pour réussir ce projet essentiel pour le progrès social du pays. D'après MAP 15/01/2010 à 18:15:35 A la une Grands principes du régime diabétique Le régime est à adapter à chaque malade en fonction du type de diabète, de son activité physique, de son sexe, de son poids, de ses autres facteurs de risque cardio-vasculaire. Cependant des grandes lignes sont toujours à respecter. *Le sucre et produits sucrés : Chocolat, pâtisseries, glaces, confiture, miel, biscuits... Autant de bonnes choses à éviter (sauf si hypoglycémie, évidemment) Parfois 1 fois par semaine en remplacement d'un fruit à la fin d'un repas SI le diabète est bien équilibré. Attention aux étiquettes !! Il faut bien lire la composition de certains produits : Des produits dits sans sucre ne contiennent pas de sucre ordinaire mais d'autres sucres (fructose, polyols...) Les produits « light » dits allégés sont allégés par définition et peuvent contenir du sucre en quantité allégée ! Les édulcorants type aspartam en poudre ou sucrette sont autorisés car non absorbés par l'intestin. *Les boissons : Seule l'eau est nécessaire à raison d'un litre et demi par jour, elle peut être gazeuse ou aromatisée avec des édulcorants. Les boissons sucrées sont à éviter comme les jus de fruits (même sans sucre), les sodas, limonade et autres cocas. L'alcool est à éviter et ceci sous toutes ses formes en raison de son pouvoir calorique, et quand on dit alcool il ne s'agit pas que des « alcools forts », tous sont concernés (bière, vins, apéritifs, digestifs, cidres, et même le champagne). *Les produits laitierssont à consommer à raison de 3 par jour. En cas de surpoids, on choisira les produits allégés de 0 à 20% et le lait demi-écrémé. Rappelons qu'un produit laitier représente en quantité un verre de lait ou 30g de fromage ou 2 petits suisses ou un yaourt ou 100g de fromage blanc *Légumes verts et crudités Pas de limitation. On peut en relever le goût avec des aromates, des fines herbes, un filet de citron, etc... En cas d'hypertension, on évitera les conserves (trop salés) *Fruits Pas plus de 2 ou 3 par jour en prenant garde aux fruits secs comme les dattes ou les pruneaux (ils sont très riches en sucre) ou aux oléagineux (ils sont très riches en graisses) *Poissons et viandes Comme il est dit dans d'autres articles, la consommation de poisson 2 à 3 fois par semaine est recommandée. La ration quotidienne doit se limiter à 200g de viande ou équivalent par jour, dégraissée. Bien sûr, en cas de surpoids surtout, les plats en sauce, les charcuteries et fritures sont à éviter. Les plats surgelés allégés (moins de 300 Cal) sont autorisés *Huiles, beurre : Le beurre est à éviter et sera remplacé par une margarine végétale en barquette, La végétaline est elle aussi à proscrire. les huiles recommandées sont l'huile d'olive +++, de tournesol, de maïs, de soja, de colza, mélangées... *Pain et féculents : Comme ils contiennent du sucre, ils seront consommées à chaque repas en quantité contrôlée. 150 g de féculents cuits représentent environ : 6 cuillères à soupe de riz, de pâtes, de semoule ou de légumes secs 3 cuillères à soupe de purée ou 3 pommes de terre de la taille d'un oeuf 60 g de pain ou ¼ de baguette ou 4 biscottes *Autres conseils : Pas de tabac ! Faire de l'exercice physique comme 1 heure de marche trois fois par semaine ou bricoler, jardiner. Ne pas prendre sa voiture pour faire les courses au magasin du coin, l'ascenseur pour un ou deux étages, etc... Ne négligez aucune blessure en particulier aux pieds, très sensibles car souvent, justement, insensibles à la douleur chez le diabétique. Coupez avec soin les ongles mais pas trop courts, pas de pieds nus, chaussures confortables (pas de hauts-talons, mesdames). La vitamine A s'appelle également rétinol parce qu'elle a été trouvée dans la rétine. Dans l'organisme, elle existe sous forme de rétinol, de rétinal, d'acide rétinoïque et de rétinyl phosphate. Ces molécules sont altérées par l'oxygène de l'air, altérations accélérées par la lumière et la chaleur. Les aliments d'origine animale, viandes, notamment le foie, contiennent du rétinol et des esters de rétinol alors que les végétaux contiennent essentiellement des carotènes qui sont des précurseurs du rétinol. Une molécule de carotène, par hydrolyse de la liaison 15-15' sous l'influence d'une caroténoïde dioxygénase, donne deux molécules de vitamine A. Les besoins en vitamine A sont estimés à environ 5000UI par jour. Une unité internationale de vitamine A correspond à 0,3microgrammes de rétinol (isomère tout-trans). Par ailleurs 1 microgramme de rétinol est considéré comme l'unité de base, le rétinol-équivalent, ce qui permet de comparer l'activité vitaminique des différents dérivés de la vitamine A. Absorption digestive Dans le tube digestif, les esters de rétinol, hydrolysés par une lipase, libèrent le rétinol qui est absorbé par la cellule épithéliale, son absorption étant favorisée par les lipides et les sels biliaires. Dans la cellule, le rétinol est réestérifié et incorporé dans les chylomicrons qui passent dans la lymphe par exocytose. Le ß-carotène est absorbé par la cellule épithéliale qui l'hydrolyse ensuite en rétinal. Les chylomicrons sont transformés en «restes chylomicrons» (chylomicrons remnants) qui sont fixés puis incorporés par des «récepteurs hépatiques». Le foie est l'organe de stockage de la vitamine A. Les caroténoïdes, précurseurs de la vitamine A, sont absorbés par diffusion passive, leur absorption allant de 5 à 50%. Distribution La concentration plasmatique normale de rétinol chez l'adulte est de 300 à 700 Le foie libère du rétinol dans le plasma, sous forme liée à la RBP (retinol-binding-protein). Dans le plasma, le rétinol fixé à la RBP forme avec la pré-albumine, ou transthyrétine, un complexe qui fixe la thyroxine. La fixation de rétinol à la RBP est nécessaire à la formation du complexe ternaire. Sous forme libre, la RBP est éliminée par filtration glomérulaire. Dans les cellules des tissus cibles, le rétinol et ses dérivés se fixent sur des transporteurs appelés CRBP (cellular retinol binding protein) et CRABP (cellular retinoid acid-binding protein). Le rôle de ces transporteurs serait d'assurer le passage du rétinol et de l'acide rétinoïque dans le noyau, mais l'hypothèse qu'ils pourraient dans certains cas le séquestrer dans le cytoplasme a été avancée. Dans le noyau, on trouve des récepteurs à l'acide rétinoïque appelés RAR (retinoic acid receptor), de typea, ß etg, et RXR (retinoic X receptor)a, ß etg, ainsi que leurs cibles, les RARE (retinoic acid responsive elements). Au niveau de la rétine, le rétinal est lié à l'opsine et forme la rhodopsine. Élimination, catabolisme L'élimination et le catabolisme de la vitamine A sont mal connus. Formules chimiques du rétinol, du rétinal et de l'acide rétinoïque Remarque La prise, même excessive, de caroténoïdes ne provoque pas d'hypervitaminose A. L'absorption digestive des caroténoïdes est incomplète et leur transformation en vitamine A est régulée. La concentration normale de ß-carotène dans le plasma serait comprise entre 1 et 2mg/L. Les caroténoïdes sont transportés dans le sang associés aux LDL es différentes formes, rétinol, rétinal, acide trans-rétinoïque et acide-9-cis rétinoïque, coexistent dans les tissus et sont en équilibre les unes avec les autres. Leur rôle n'est pas identique. Le rétinal joue un rôle essentiel dans la vision alors que l'acide rétinoïque intervient dans la croissance et la différenciation cellulaire. Métabolisme et effets de la vitamine A Rôle dans la vision La vitamine A améliore la vision crépusculaire. Sa carence se traduit par une héméralopie, c'est-à-dire un défaut d'adaptation de la vision à l'obscurité. La rhodopsine est formée de 11-cis-rétinal lié à l'opsine qui est un polypeptide d'environ 350 acides aminés, le rétinal étant fixé au groupe NH2de la lysine. La chaîne polypeptidique de l'opsine est transmembranaire. L'absorption d'un photon entraîne une série de réactions conduisant à la transformation de la rhodopsine en métarhodopsine II et isomérisation du cis-rétinal en trans-rétinal qui se détache de la rhodopsine. Rôle de la vitamine A au niveau de la rétine La rhodopsine activée interagit avec la protéine Gt ou transducine. La transducine stimule une phosphodiestérase, PDE, qui transforme le GMP cyclique en 5'GMP. Le GMPc maintient ouverts les canaux sodiques du segment externe des bâtonnets, ce qui permet l'entrée de sodium et le maintien d'une dépolarisation cellulaire. La diminution du GMPc inhibe cette entrée de Na+, ce qui entraîne une hyperpolarisation relative du segment externe des bâtonnets. En cas de déficience en vitamine A, l'effet est plus marqué sur les bâtonnets que sur les cônes. Le trans-rétinal est retransformé en cis-rétinal par isomérisation et il y a équilibre entre rétinal et rétinol. Rôle dans la différenciation et la croissance cellulaire Les effets de la vitamine A dans la différenciation et la croissance cellulaire sont assurés par l'intermédiaire de l'acide tout-trans-rétinoïque et de l'acide 9-cis-rétinoïque qui pénètrent dans le noyau, agissent sur des récepteurs de type RAR (retinoic acid receptor) et RXR (retinoic X receptor). Ces récepteurs activés se dimérisent, formant des homodimères ou des hétérodimères, se lient aux éléments de réponse de l'acide rétinoïque (ou RARE) et modulent la transcription de certains gènes. Ils modulent ainsi la synthèse de diverses protéines encore insuffisamment identifiées. Par ailleurs les rétinoïdes inhibent le facteur AP-1 et réduisent ainsi la synthèse de métalloprotéases (par exemple les collagénases), de certaines cytokines et de certaines enzymes comme l'ornithine décarboxylase qui est augmentée dans les cellules cancéreuses du colon. Par ailleurs, la vitamine A qui comporte une partie hydrophobe et une partie hydrophile est présente dans les membranes qu'elle pourrait protéger contre les réactions radicalaires. Le rétinylphosphate intervient comme transporteur de mannose dans la synthèse de glycoprotéines. Les actions de la vitamine A précédemment décrites expliquent peut-être son effet "anticancéreux". La déficience en vitamine A pourrait augmenter les risques de certains cancers. Chez l'animal, l'administration de fortes doses de vitamine A réduit la croissance et le développement de certaines tumeurs. Le ß-carotène et les caroténoïdes auraient un effet anticancérigène plus prononcé que la vitamine A elle-même. Plusieurs études ont montré chez l'homme une corrélation inverse entre la fréquence des cancers et l'élévation de la concentration des caroténoïdes dans le plasma mais il n'est pas prouvé qu'une supplémentation en carotène réduise leur fréquence. Chez l'animal, les caroténoïdes s'opposent au développement de diverses tumeurs. La carence en vitamine A se traduit par différents signes: troubles dermatologiques : cutanés: dessèchement, hyperkératose. muqueux : sécheresse, ulcérations bronchiques, digestives et oculaires (xérophtalmie). troubles visuels : héméralopie ou cécité crépusculaire. perturbation de la matrice organique de l'os entraînant des troubles de l'ossification. diminution de la croissance staturopondérale diminution de la résistance aux infections. Une consommation excessive et prolongée d'alcool peut provoquer une déficience en vitamine A, particulièrement en acide rétinoïque. La vitamine A est utilisée pour traiter ou prévenir les carences. Si la présentation pharmaceutique permet un apport de 5000 à 10000 UI par jour, une prise quotidienne est possible. Si la présentation pharmaceutique contient 50000UI par gélule ou comprimé, voire plus, l'apport doit être discontinu, une ou deux fois par semaine par exemple. Vitamine Aou rétinol AROVIT*1 Cp = 50 000 UISol buv = 5 000 UI/goutte AVIBON*1 capsule = 50 000 UI Pommade Le principal effet indésirable de la vitamine A résulte d'un apport excessif. On peut distinguer une hypervitaminose A aiguë et une hypervitaminose A chronique. L'hypervitaminose A aiguë est exceptionnelle chez l'adulte. Elle a cependant été décrite chez les Esquimaux après consommation d'une grande quantité de foie d'ours ou de phoque dont la teneur en rétinol est extrêmement élevée. Les principaux symptômes sont des céphalées occipitales et des vomissements. Chez le nourrisson, l'hypervitaminose A apparaît sous la forme d'un bombement de la fontanelle. L'hypervitaminose A chronique n'apparaît qu'après l'utilisation prolongée de fortes doses et se traduit par divers symptômes : nausées, vomissements, anorexie, fatigue, somnolence, céphalées et troubles du comportement. On observe de plus une hyperlipémie et une hypercalcémie. L'excès de vitamine A pourrait être tératogène. Il est donc indispensable de mettre la femme enceinte en garde contre une prise excessive de vitamine A sous forme de médicament ou de régime trop riche en vitamine A, foie de poisson notamment. Si une supplémentation en vitamine A est prescrite, il ne faudrait pas dépasser un apport d'environ 2 500UI/jour. Chez l'animal, la déficience en vitamine A provoque des malformations; il faut donc éviter un excès sans chercher à l'éliminer de l'alimentation de la femme enceinte. La vitamine A est présente à doses physiologiques dans de nombreuses associations de vitamines. Dans un article paru dans leLancet du 17 octobre 2009, des auteurs tchèques ont étudié l'influence de l'administration de paracétamol comparativement à un placebo, lors de vaccinations, sur la fièvre post-vaccinale et sur l'efficacité vaccinale mesurée par l'induction d'anticorps. L'étude a été menée sur des nourrissons de 9 à 16 semaines pour la primo-vaccination et 12 à 15 mois pour le rappel. Les vaccins utilisés provenaient du Laboratoire GSK: vaccin pneumococcique, vaccin hexavalent type Infanrix* hexa et vaccin rotavirus. Le paracétamol était administré en suppositoire lors de la vaccination puis toutes les 8 heures pendant 24 heures. Les résultats ont montré que l'administration préventive de paracétamol réduisait considérablement la poussée de température post-vaccinale, surtout lors de la première administration du vaccin, ainsi que l'inconfort post-vaccinal; mais parallèlement elle diminuait, certes modérément, la formation de la plupart des anticorps induite par les vaccins et donc probablement leur efficacité immunogène. Les auteurs concluent que l'administration systématique de paracétamol lors des vaccinations ne doit pas être recommandée. Si on extrapole ces résultats obtenus avec des vaccins aux maladies infectieuses elles-mêmes, fréquentes chez l'enfant, on peut penser que l'administration de paracétamol altère les mécanismes de défense contre ces maladies. La prescription systématique de paracétamol au cours des maladies infectieuses fébriles serait une pratique à abandonner. Puisque la grippe A H1N1 et la grippe saisonnière sont à l'ordre du jour, je conseillerais aux personnes qui en ressentent les symptômes de renoncer, autant que faire se peut, à la prise de paracétamol et de toute autre anti-inflammatoire. J'ai déjà plaidé à maintes reprises dans Pharmacorama contre le recours systématique aux antipyrétiques dans les infections fébriles

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