Thtre

Web Name: Thtre

WebSite: http://www.theatramour.com

ID:93528

Keywords:

Thtre,

Description:

Le th tre sert d signer la fois l art de la repr sentation dramatique, un genre litt raire sp cifique (voir th tre (genre litt raire) ) et le b timent dans lequel se d roulent les spectacles de th tre (voir th tre (b timent) ). Jadis, le mot d signait aussi la sc ne ou le plateau, c est- -dire toute la partie cach e du public par le rideau. Au sens figur , th tre sert d signer un lieu o se d roule une action importante (par exemple, un th tre d op rations militaires). Aujourd hui, l heure des arts dits pluridisciplinaires, la d finition de l art du th tre est qui plus est en plus large (jusqu se confondre avec l expression spectacle vivant), si quoique certains grands metteurs en sc ne n h sitent pas dire que pour qu il y ait th tre, il suffit juste d avoir un lieu, un temps, un acte et un public. Il s agit de spectacles dans lesquels des acteurs incarnent des personnages pour un regard ext rieur (le public), dans un temps et un espace limit s. Les dialogues r dig s sont nomm s pi ces de th tre, mais il peut y avoir aussi du th tre sans texte r dig ou m me sans aucune parole. Dans la cr ation contemporaine les fronti res entre les diff rents arts de la sc ne (th tre, mime, cirque, danse... ) sont qui plus est en plus t nues, si quoique certains professionnels n h sitent pas remplacer le mot th tre par les mots spectacle pluridisciplinaire, ou spectacle vivant, mettant ainsi l accent sur le m tissage des disciplines. Article d taill : Histoire du th tre. C est en premier lieu l poque grecque antique qu appara t le theatron ( ο , qui vient de ε ο : regarder, contempler). Il sert d signer dans ce cas l h micycle destin aux spectateurs, un th tre est par cons quent l origine un lieu d o le public observe un spectacle. la Renaissance, la signification couvre non seulement la totalit de l difice de spectacle, sc ne comprise, ainsi qu l art dramatique. Ce n est qu apr s la p riode du th tre classique que le terme sert d signer aussi la litt rature r dig e particuli rement pour la repr sentation th trale. Le th tre est n en Gr ce, o des concours tragiques existent depuis le VIesi cle av. J. -C. . Il est apparu Rome la fin du IIIesi cle av. J. -C. Les repr sentations font partie des jeux (ludi), f tes officielles de la cit . Rome, on difie en premier lieu des th tres en bois, o seuls les spectateurs des premiers rangs sont assis, puis des th tres en pierre: th tre de Pomp e en 55 av. J. -C. , de Balbus en 13 av. J. -C. , de Marcellus en 12 ou 11 av. J. -C. En Campanie, par exemple Pomp i, on construit des th tres en pierre d s le IIIesi cle. l poque imp riale, chaque ville romaine a son th tre, comme Ostie en Italie, Orange en Gaule, Sabratha en Afrique... Le premier th tre a probablement t une aire de battage pour le bl : les paysans, la fin des moissons, y jouaient des sayn tes en l honneur de Dionysos, le dieu du Vin et du Th tre. Puis, on construisit des th tres en bois, fragiles, sensibles au feu et o seuls les spectateurs des premiers rangs sont assis. A partir du Ve si cle, les th tres sont fabriqu s en pierre, fr quemment dos de colline. Dans le th tre romain, plus anciennement dans le th tre grec, les acteurs portaient un masque: cet accessoire leur permettait d tre mieux vu des spectateurs assis sur les gradins quelquefois loign s et d en tre mieux entendus, leur voix tant augment e comme par nos modernes porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste), comique (un visage fendu d un large rire) et m me des masques doubles (un c t tragique, un c t comique) ; les acteurs qui se servaient de ces derniers devaient jouer de profil! L acteur (exclusivement masculin) porte aussi des v tements aux rembourrages voyants et une coiffure particuli rement en hauteur qui sont cens s voquer le gigantisme des dieux et des h ros qu il incarne L acteur Article d taill : Acteur. L acteur de th tre est complexe d finir car dans notre vie quotidienne nous sommes tous acteurs. Mais plut t des acteurs sociaux, car nous vivons en soci t . Nous changeons de r le plusieurs fois par jour: au travail, en famille, entre amis, etc. Ces r les font partie de notre tre, ils sont constituants. Mais nous exag rons quelquefois le jeu. Les r les sociaux sont indispensables: ils donnent de la coh rence la soci t , donnent une place chacun. Ils sont rassurants. Le r el acteur de th tre ne joue g n ralement qu un seul r le la fois, clairement d fini, coh rent et g n ralement norm ment plus que dans la vie r elle. L acteur sait qu il n est pas r ellement le personnage. Les r les de th tre ne sont par cons quent pas constituants. Un acteur s investit cependant dans son r le avec sa personnalit et son v cu. C est fr quemment cela qui rend le r le plus fort, meilleur. Il n emp che que certains acteurs sont accus s de trop jouer tous leurs personnages de la m me mani re, de cabotiner. Ce probl me du paradoxe sur le com dien est clairement expos par Diderot. Pourquoi, si nous jouons d j naturellement des r les, nous sommes-nous mis jouer du th tre? De fa on g n rale, comme nous le rappelle Aristote dans La Po tique, nous r agissons diff remment dans la vie, et face une uvre d art. Un cadavre en d composition nous horrifie, mais une nature morte nous ravit. Il y a par cons quent un pouvoir propre la repr sentation (mim sis), au jeu, qui nous permet d appr hender avec plaisir ce qui autrement nous pose probl me. Nous jouons par cons quent du th tre pour faire face aux myst res et conflits qui nous inqui tent. Nous cherchons ainsi cr er un miroir social, un reflet plus ou moins caricatural de la soci t , qui sert mieux la comprendre, et de mieux d noncer ses failles: ce r le politique tait sp cifiquement vident dans la Gr ce antique, avec la com die ancienne. Mais on peut aussi se souvenir de cette citation du Hamlet de Shakespeare for any thing so overdone is from the purpose of playing, whose end, both at the first and now, was and is, to hold, as twere, the mirror up to nature ; le th tre est aussi un miroir tendu la nature: le spectateur, comme l acteur, vient chercher une r ponse, se construire une identit . Enfin le th tre peut avoir un effet cathartique, servant d exutoire aux passions qui ne sont pas autoris es par la soci t . Le th tre peut aussi tre un divertissement, sans autre objectif de changer les id es ses spectateurs, par l utilisation du comique, surtout. noter le travail d Augusto Boal qui aborda une mani re de faire du th tre fermement politique, c est- -dire qu il faisait jouer des gens des situations conflictuelles en changeant la position des personnages: par exemple, le directeur qui avait licenci tel salari jouait le r le du salari . Cela permettait de r gler certains conflits. C est l origine de ce qu on a nomm le th tre forum, et en Belgique le th tre-action. genre de th tre Moli re lui-m me le disait, traduisant ainsi une devise de Santeul: l objectif de la com die est de corriger les m urs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la trag die. Ces deux formes th trales ont en effet une port e difiante. La com die se propose de corriger les vices des hommes en les divertissant , dit Moli re. Cet auteur, tout en faisant rire les spectateurs par des passages comiques tir s de la farce, un genre qu il a longtemps jou , tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-m me : On veut bien tre m chant, mais on ne veut pas tre ridicule . Il s est ainsi moqu du p dantisme dans Les Femmes savantes, des faux d vots et des cr dules dans Tartuffe ou l Imposteur, de l avarice dans L Avare, des faux savants - il y vise surtout la m decine - dans Le Malade imaginaire, etc. La trag die tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plut t leurs passions, de deux mani res:en premier lieu en montrant les d g ts que peuvent provoquer les passions: dans les trag dies, les passionn s se font tuer, tuent ou se suicident (comme dans Ph dre o cette derni re s empoisonne cause d un amour ill gitime), deviennent fous, tel Oreste la fin d Andromaque de Racine (hors de la sc ne, par respect de la r gle des trois unit s) ;ensuite, les dramaturges comptent sur la catharsis (du grec : purification), ou purgation des passions: les spectateurs d une trag die sont ainsi cens s se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration en prouvant terreur et piti , comme l crit Aristote dans sa Po tique. Voir aussi les listes d taill es Dramaturges par ordre alphab tique et Dramaturges par ordre chronologiqueVoir aussi la cat gorie Dramaturge. Th tre et InternetLongtemps diabolis es, la fois pour leur remise en cause des habitudes en cours, mais galement comme symbole de valeurs bien loign es de celles du th tre, les innovations sur Internet ont longtemps t reconnues comme des officines responsables de la r gression du th tre (discours de Georges Terrey, pr sident des Th tres priv s fran ais en 2004). Actuellement, plus personne ne songe contester ce qu apporte l Internet au th tre:une popularisation: de nombreux sites publient chaque semaine des opinions construites et structur es sur les principales pi ces l affiche. Chacun peut par cons quent d sormais choisir ais ment la pi ce qui correspond ses attentes parmi les nombreuses pi ces l affiche, sans pour tout autant devoir consulter chaque semaine ce qui est publi dans la presse;une d mocratisation: des sites de billetterie en ligne ont progressivement incit les th tres mener une politique commerciale plus agressive qui s est actuellement g n ralis e;un acc s facilit l information: peu de th tres d sormais n gligent de communiquer sur le net. Historique, programmation, r servation, sont tout autant de facilit s pour les amateurs de th tre. Des sites portails recensent aussi d sormais la totalit des sites (opinions, th tres, marchands) qui peuvent aider chacun dans sa recherche. Ainsi, en septembre 2006, la Com die-Fran aise a ouvert ses portes aux acteurs du march , que ce soit pour publier sur le Web des avis sur les pi ces, ou pour proposer des tarifs r duits aux spectateurs. Bibliographie succincteMichel Corvin (dir. ), Dictionnaire encyclop dique du th tre, Paris, Bordas, 1995, 2 vol. (ISBN 2-04-027132-5) - (ISBN 2-04-027134-1) . Jacqueline de Jomaron, Le th tre en France, Paris, Armand Colin, 1992. R d. Le Livre de Poche, 1998 (ISBN 2-253-06396-7) . Jean Duvignaud, Sociologie du th tre, Paris, PUF, 1965. R d. Quadrige, 1999 (ISBN 2-13-050244-X) . Liens externesCatherine Naugrette, Le th tre: comique et tragiqueLe site des professionnels du spectacle: actualit s, magazines, guides... R sum s de nombreuses pi ces de th tre Ce texte est issu de l'encyclop die Wikipedia. Vous pouvez consulter sa version originale dans cette encyclop die l'adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre. Voir la liste des contributeurs.La version pr sent e ici t extraite depuis cette source le 04/03/2009. Ce texte est disponible sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL). La liste des d finitions propos es en t te de page est une s lection parmi les r sultats obtenus l'aide de la commande define: de Google. Cette page fait partie du projet Wikibis.

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Le théâtre sert à désigner à la fois l'art de la représentation dramatique, un genre littéraire spécifique)...

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