Comité Elargi de Défense de l'Individu et des Familles

Time 2020-12-29 17:04:23

Web Name: Comité Elargi de Défense de l'Individu et des Familles

WebSite: http://asso-cedif.e-monsite.com

ID:150066

Keywords:

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Description:

________________________L'objectif du CEDIF est de d fendre l'institution familiale et de faire respecter le principe de subsidiarit selon lequel les parents sont les premiers responsables de leurs enfants. Il entend faire appliquer des articles 14 (droit de constater par soi-m me) et 15 (droit demander compte l'administration) de la DDHC de 1789, en relation avec les articles 6 (droit au proc s quitable) et 8 (droit au respect de la vie priv e et familiale) de la CEDH de 1953 et l'article 54 (interdiction de l'abus de droit) de la CDF de l'UE de 2000. Il vise rappeler la place fondamentale de la famille dans le d veloppement ducatif et social des enfants; sensibiliser le public au r le de la famille en tant qu'institution premi re apte permettre la formation de la personnalit des enfants et leur syst me de valeur; favoriser des solutions d'arbitrage dans des situations de conflits familiaux en vitant au maximum l'intervention des pouvoirs publics; demander des comptes tout agent public de son administration; d noncer des proc dures abusives et des faits de d ni de justice; obtenir que les exactions administratives et judiciaires soient poursuivies, m diatiser les fautes commises par des magistrats et des experts judiciaires. En France,tous les ans, environ 150 000 enfants sont plac s en famille d accueil (54%) ou en foyer (46% r parties dans 1763 tablissements accueillant des enfants et adolescents en difficult sociale : maisons d'enfants caract re social [MECS] et foyers de l'enfance [plus de 90 % des places], internats scolaires, villages d'enfants, pouponni res et lieux de vie). Comme le reconna t lui-m me Pierre Naves, Inspecteur G n ral des Affaires Sociales, dans la moiti des cas, ces placements ne se justifient pas - 25% pour des mauvaises valuations au d part et 25% pour des prolongations abusives. Ainsi, ce sont donc pr s de 75 000 enfants qui sont arrach s leurs milieu naturel et qui garderont, toute leur vie, les s quelles de ce traumatisme - 65% des adultes soign s pour maladie psychiatrique et40% des SDF g s de 18 24ans sont pass s par des dispositifs de protection de l enfance. Une souffrance indue mais inflig e aux familles d'autant plus inexplicablement car elle est tr s co teuse. L aide sociale l enfance est devenue le premier poste de d penses des d partements en mati re d action sociale. Selon la Cour des Comptes, dans son rapport publi le 1er octobre 2009, les dysfonctionnements de la protection de l'enfance concerne peu pr s 300 000 jeunes pour une d pense annuelle d'environ 6 milliards d'euros (pr s de 10 milliards sont investis l'ann e suivante). A savoir - le placement mensuel d un enfant revient 6 000 euros (72 000 /an), tandis que 2 millions d autres enfants sont consid r s comme pauvres car leurs familles vivent avec moins de 950 par mois ! Accueil "Little Brother see you"   *   (Maurice Flower sur Flickr)  *CEDIF* - Comit Elargi de D fense de l Individu et des Familles, connu galement sous la d nomination Comit CEDIF, est une association but non lucratif r gie par la loi du 1er juillet 1901. Elle a t ins r e dans le JO de la RF en date du 18/09/2010 en page 4326 sous le n 175. L organisation agitprioritairement en faveur des ceux qui, dans leur qualit des parents, sont confront s aux services sociaux et plus pr cis ment l ASECofondateur et Pr sident de l association Xavier Collet (Ксавие Коле)Cofondateur et Vice-Pr sident de l association Boris Tanusheff (Борис Танушев)Ce site n est plus r guli rement mis jours depuis 2016. Son contenu est toujours d actualit , mais si vous voulez lire nos derniers articles, veuillez suivre le lien qui va vous emmener au site actuel du CEDIF. : https://comitecedif.wordpress.com/ Vous pouvez galement contacter notre association l adresse suivante : association.cedif@gmail.comMerci pour votre fid lit ! / Dans les temps de tromperie universelle, dire la v rit devient un acte r volutionnaire. George Orwell / Afin d aider les familles victimes de modes op ratoires autoritaires et arbitraires du service de la protection de l enfance, notre association CEDIF met en place un Livre Noir d non ant ses pratiques abusives : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/tracts-appels/livre-noir-des-ss.html. Il peut tre utile de mettre en commun les diff rentes exp riences traumatisantes v cues par des parents, des enfants plac s, des tiers, tous faussement accus s ou objets d acharnement de la part d ASE. Leurs t moignages seront, apr s v rification, relat s anonymement. Le document final donnera lieu un rapport, compl mentaire celui que nous avons d j produit, concernant la protection de l enfance. On se dit par exemple qu il m rite d tre aid , que c est justement de votre aide dont il a besoin et qu il se montrera coup s r profond ment reconnaissant, attach , soumis en r ponse au moindre secours, c est avec de telles imaginations qu on dispose des n cessiteux comme d une propri t , de m me que c est par ce d sir de poss der qu on se montre bienfaisant et secourable , Paul Fustier, parole de Nietzche, p 47. : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/se-r-vices-sociaux/les-revelations-d-une-travailleuse-sociale.html Cedif : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/interpellations/l-etat-de-la-protection-de-l-enfance.html Ce qu il se passe dans le domaine de la protection de l enfance n est pas digne d un pays qui se pr tend berceau de droits de l homme. De la souffrance est impos e la pluspart du temps injustement aux parents et enfants, dans l indiff rence m diatique totale car l opinion publique est soigneusement tenue l cart des exactions de l ASE suppos e irr prochable. C est pourquoi il est imp ratif de faire tomber cette chape de silence pos e sur le sort de nos familles, co te que co te, jusqu ce que nos cris aillent la briser. A cet gard j ai une id e de riposte inspir e par Kant qui affirme que Nous ne voyons pas le monde tel qu il est, mais tel que nous sommes. Or, quand nous somme faussement accus s par les SS et les juges, n est ce pas parce qu ils projettent selon cette logique, approuv e galement par la psychanalyse, leurs propres d fauts et s vices sur nous. C est pourquoi il est tout fait l gitime de penser que nous somme en face des fonctionnaires psychiquement instables, d lirants ou d viants, et il en va de notre devoir moral de signaler au procureur, au nom de leur tant aim principe de pr caution, le danger qu ils repr sentent eux-m mes pour leurs propres enfants. Retourner le syst me contre eux c est le meilleur moyen de les faire reculer. Boris Tanusheff Je vous appelle d poser des articles sur Facebook, d non ant avec pr cision ce que vous avez subi, nommant les personnes qui ont commis des d lits et des fautes graves pour vous r duire portion parentale congrue, et le faire sans haine ni insulte, vous bornant dire les faits et nommer les responsables. Ensuite il faut adresser au procureur de la r publique le texte que vous avez d pos sur la toile publique, avec les r f rences http par copier coller afin de leur en faciliter la prise de connaissance, et d adresser galement une copie de ce texte votre d put et au ministre de la justice. Nul n tant cens ignorer la loi, vos d clarations devront imp rativement, et l galement pour le coup, donner lieu poursuite et enqu te. Pascal Dazin ----------------------------------* Sur la photo : Pavel Morozov (1918 - 1932), mieux connu sous le diminutif Pavlik, est un jeune paysan russe glorifi par la propagande sovi tique et rig en ic ne du communisme. Son titre officiel tait pionnier-h ros num ro 001 de l Union Sovi tique . A l ge de 13 ans, une poque o la famine r gnait et les bolcheviks r quisitionnaient le grain, il d nonce son p re aux autorit s pour la violation manifeste de la ligne de parti persuad que ce-dernier, alors responsable du soviet local, dissimulait du grain (c tait en r alit pour pr server le vilage de la sous-alimentation) et qu il fournissait des faux-papiers des koulaks (pour qu ils puissent chapper aux pers cutions). Le p re fut arr t , d port dans un camp de travail forc et abattu l ann e suivante. La vengeance attrapa le fils et il ne surv cut pas son acte de d nonciation mais les autorit s communistes firent de lui un h ros. Il devint un conte de la morale sovi tique consid rant l opposition l Etat comme r actionnaire, et la loyaut envers les institutions comme une vertu plus grande que celle de l amour familial. Son histoire fut sujet de lecture obligatoire, de pi ces de th tre, des chansons, d un po me symphonique et m me d un op ra. Son culte lui d dia des monuments et il donna son nom des rues et des coles. Pendant soixante ans, Pavlik Morozov fut un exemple pour toute la jeunesse sovi tique : elle devait consacrer son existence l tat et non pas sa famille ; les enfants taient incit s informer les autorit s du comportement de leurs parents ; devant les tribunaux on autorisait l utilisation de leurs t moignages et la d nonciation anonyme (toute co ncidence ou ressemblance avecla pratique r elle en France n est ni fortuite ni involontaire)Le cadeau du site - cliquer et glisser la souris sur la bande verte pour le recevoir

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