Le blog de maïté-infos - Des informations, des recettes de cuisine....

Time 2020-11-21 09:03:27

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Pour 4 personnes2 cuill res soupe d huile d olive1 oignon rouge2 gousses d ail250 g d pinards frais*400 g de champignons bruns*(*l gumes locaux de Dieupentale achet s au march de Grenade s/Garonne samedi matin)6 plaques de lasagnessel1/2 l de lait35 g de farine35 g d huile150 g de gruy re r p Eplucher et mincer l oignon et l ail.Laver dans plusieurs eaux les pinards, les essorer.Couper le bout terreux des champignons, les laver sous l eau courante et les mincer.Dans une grande po le, avec une cuill re d huile, faire revenir l oignon et l ail. R server dans un plat.Dans cette m me po le, sans rajout de mati re grasse, tomber les pinards en remuant. Saler et r server dans le plat avec l oignon et l ail.Ajouter une cuill re d huile, faire revenir les champignons jusqu vaporation de l eau de v g tation.Remettre tous les l gumes dans la po le, bien m langer.Pr parer une sauce B chamel rapide et sans grumeaux :Mettre le lait bouillir. Dans un bol d layer la farine et l huile. Hors du feu verser le m lange dans la casserole, bien remuer. Remettre en cuisson tout en m langeant quelques minutes. Saler, ajouter 100 g de gruy re r p et m langer.Dans un plat, mettre une fine couche de sauce B chamel, une ou deux plaques de lasagnes (couper la deuxi me plaque en morceaux pourbien recouvrir la sauce).Ajouter une couche del gumes.Recommencer jusqu puisement des ingr dients.Finir par la sauce B chamel, parsemer de fromage et enfourner une trentaine de minutes. Nous sommes tous impatients d ouvrir les portes de ce bel tablissement qui malheureusement pour causede COVID-19 resteront s rement ferm es jusqu en 2021.J ai eu le plaisir, avec l accord de Laurence DESMOULIN, Responsable du Service Culture-Communication et de Muriel TORNOS, Adjointe la Culture, de faire des photos de cette m diath que.Un tr s bon accueil m a t r serv par le Directeur Derek MEUNIER. Deux autres personnes ont pris leur fonction :- d accueillir les lecteurs, de les aider dans leurs recherches et de les orienter dans leur choix de lecture,- d organiser des expositions ou des conf rences-d bats,- d veiller la sensibilit et donner le go t de la d couverte de la lecture et des livres au jeune public. - Au rez-de-chauss e : Un espace de d tente, une grainoth que, des revues , des ordinateurs, Un espace accueil destin renseigner le public et enregistrer les pr ts et les retours de documents, Un espace de travail. Un espace ludoth que destin tous les publics, Un auditorium de 75 places quip d un syst me de projection vid o, Un espace passerelle pour les adolescents qui s ouvre sur la terrasse, Un espace jeunesse (6 12 ans), Un espace petite enfance (0 6 ans). SOLIDARITE A NOEL : Une tablette en chocolat pour les enfants malades. Du 24 novembre au 24 d cembre, les Compagnons du Go t, dont David ROUMIGUIE, fait partie, se mobilisent pour l Association Petits Princes et les enfants malades.Ils ont cr , sp cialement pour l occasion, une tablette enchocolat qui sera vendue 3 revers s l association.C est le petit cadeau ne pas manquer pour faire plaisir et s engager petits prix ! _____________L histoire des Compagnons du go t, d but een 1997, rassemble plus de 550 bouchers, charcutiers, traiteurs ind pendants de France qui partagent des valeurs communes telles que la d fense du terroir et la passion de leur m tier.Depuis 2014, ilssoutiennent l Association Petits Princes. Accueil - Compagnons du GoûtAvec les Compagnons, vous êtes dans le bon ! Nés en 1997 de la volonté de fédérer les meilleurs bouchers charcutiers traiteurs de France,les Compagnons du Goût rassemblent plus de 500 artisan...https://compagnonsdugout.fr/ ----------------- Association Petits PrincesEntreprises, comités d'entreprise, collectivités locales : commandez vos cartes de vœux 2021 dès maintenant : Plus de 50 modèles qualitatifs et originaux Personnalisables de A à Z Un engageme...https://www.petitsprinces.com/ Les ann es se suivent mais ne se ressemblent pas...L ann e derni re, cette p riode,nous nous trouvions N mes.Aujourd hui confin e, faute de voyager, je consulte mon dossier images et publie un article sur l universit de N mes qui est un site historique.De 1687 1688, la construction de la citadelle a t confi e Jean-Fran ois FERRY, ing nieur du roi Louis XIVet Jean PAPOT, architecte du roi, sous le contr le de S bastien LE PRESTRE DE VAUBAN.Cette citadelle implant e sur un lieu haut et difficile d acc s devait permettre de surveiller et de d fendre la ville de N mes.Jean-Fran ois FERRY dota la porte d entr e principale d une uvre st r otomique repr sentantune coquille Saint-Jacques.L emplacement contenait en sous-sol une nappe d eau permettant d alimenter la place forte. Elle tait travers e par l aqueduc antique qui finissait sa course dans un ch teau d eau alimentant la ville, le CASTELLUM DIVISORIUM.En 1790, la citadelle devient prison politique de s curit .En 1820, cr ation de la Maison centrale de d tention. Entre 1945 et 1977, on y guillotina par quatre fois !En 1991, le fort est rachet par la ville de N mes.De 1993 1995, le Fort est r habilit avec la construction du site universitaire par l architecte italien Andr a BRUNO inaugur le 11 octobre 1995.On acc de l entr e principale du fort, dite Porte Royale ou Porte de la Coquille , via une passerelle m tallique surplombant le foss entourant le fort.Plus petit et plus jeune site universitaire de France m tropolitaine, il estpr sid par Beno t ROIG et compte plus de 4000 tudiants r partis en trois grandes voies (droit, conomie,gestion ; psychologie, lettres, langues, histoire ; sciences et arts). Le CastellumLe Castellum, point d'arrivée de l'aqueduc de Nîmes, est un vestige rarissime. Pour alimenter la cité en eau, on construit au milieu du 1e s. après JC un aqueduc de 50 Km dont le Pont du Gard e...https://www.nimes.fr/index.php?id=2429 Le Phare de Castelnau14, chemin de la GarrigueT l.05 61 35 13 78--------------------La Casita1, avenue de ToulouseT l.: 05 61 35 07 38---------------------Country Pizza36, Grande rueT l. : 05 61 35 18 49---------------------O Gusto5, impasse de Saint GuillanT l. : 05 62 79 67 63----------------------Tutti PizzaCentre Commercial l Or e du VillageT l. : 05 61 82 82 82----------------------D licosy Bistrot12, chemin de LagarrigueT l. : 06 64 54 57 86----------------------Traiteur Phonglan37, grande rueT l. : 05 82 74 93 19----------------------- Un grand merci Carinne TEYSSANDIER pour votre d licieuse recette que j ai r alis e samedi midi au retour du march de Grenade sur Garonne.1 courge butternut (140 g pour la papillote, le reste pour un velout )1 boule de Mozzarellaquelques noix de cajoupersilciboulettecurcuma1/2 jus d orange1 cuill re caf de miel1 cuill re caf d huile d oliveselLaver la courge. La couper en deux. Retirer les graines. Couper 140 g entranches fines, le reste en cubes pour un velout .Couper la boule de Mozzarella en tranches.Concasser les noix de cajou.Laver et hacher le persil.Laver et ciseler la ciboulettePresser la 1/2 orange.Pr chauffer le four 180 C.Recouvrir un grand plat d une feuille de papier alu et de papier cuisson afin que l alu ne touche pas directement les aliments.Ajouter les tranches de courges, alterner les tranches de fromage. Parsemer de persil et de ciboulette. Saler.Ajouter tous les autres ingr dients. Fermer la papillote herm tiquement.Enfourner trente minutes. Nous avons eu le plaisir de rencontrer Charleen et Christophe qui proposent, le samedi matin Grenade, dans leur cr perie ambulante, des cr pes et galettes bretonnes.L occasion de faire un petit voyage culinaire qui nous transporte dans cette belle r gion de France.Jean n a pas pu r sister.A11 h 00, en plein march ,il s est r gal avec la compl te : jambon, uf bio et emmental.Pour toute commande, vous pouvez contacter Charleen Christophe au num ro : 06 72 57 58 03 250 g de farine1 pinc e de sel1 sachet de levure s cheBriochin Alsa2 cuill res soupe d huile d olive15 cl d eau---------------sauce tomate au basilictomates cerises100 g de lardonsfromage r p salade roquettefleur de sel1 cuill re d huile d oliveMettre tous les ingr dients de la p te dans un saladier. Bien m langer. P trir.Filmer le saladier. Laisser pousser la p te pendant minimum demi heure.Dans une po le s che faire revenir les lardons.Pr chauffer le four 210 C.Recouvrir de sauce tomate au basilic. R partir les lardons.Ajouter les tomates cerises.Parsemer de fromage r p .Au moment de d guster ajouter la salade roquette. Parsemer de fleur de sel et arroser de quelques gouttes d huile d olive. 1 grosse patate douce1 cuill re soupe d huile d olive1 cube bouillon de volaille d graiss selfleur de sel2 portions de fromage vache qui rit1 uf par personnevinaigre blancgraines de courgesfromage r p (facultatif)Laver, plucher, couper en petits morceaux la patate douce. Laver les morceaux de patate douce.Dans une marmite, avec l huile, faire revenir les morceaux de patate douce.Verser de l eau hauteur des l gumes. Porter bullition, ajouter le fromage, le cube de bouillon de volaille, le sel et laisser cuire une demi heure.A l aide d un blender mixer le tout.Au moment de servir pocher les ufs un par un :Mettre un grand volume d eau bouillir dans une casserole. Saler et ajouter une cuill re soupe de vinaigre blanc.Pendant ce temps casser un uf frais dans un bol.A bullition, r duire le feu, Verser l uf dans l eau fr missante. Rabattre les filaments de blanc d uf sur le jaune. Poursuivre la cuisson pendant 3 minutes. Retirer l uf l aide d une cumoire, le poser d licatement sur le velout .Parsemer d un peu de fleur de sel, de graines de courge et de fromage r p . Lettre lue le jour de la rentr e des classes, apr s les vacances de la Toussaint, dans toutes les coles, coll ges et lyc es de France : Vous tenez dans vos mains l intelligence et l me des enfants ; vous tes responsables de la patrie.Les enfants qui vous sont confi s n auront pas seulement crire et d chiffrer une lettre, lire une enseigne au coin d une rue, faire une addition et une multiplication.Ils sont Fran ais et ils doivent conna tre la France, sa g ographie et son histoire : son corps et son me.Ils seront citoyens et ils doivent savoir ce qu est une d mocratie libre, quels droits leur conf re, quels devoirs leur impose la souverainet de la nation.Enfin ils seront hommes, et il faut qu ils aient une id e de l homme, il faut qu ils sachent quelle est la racine de toutes nos mis res : l go sme aux formes multiples ; quel est le principe de notre grandeur : la fiert unie la tendresse.Il faut qu ils puissent se repr senter grands traits l esp ce humaine domptant peu peu les brutalit s de la nature et les brutalit s de l instinct, et qu ils d m lent les l ments principaux de cette uvre extraordinaire qui s appelle la civilisation. Il faut leur montrer la grandeur de la pens e ; il faut leur enseigner le respect et le culte de l me en veillant en eux le sentiment de l infini qui est notre joie, et aussi notre force, car c est par luique nous triompherons du mal, de l obscurit et de la mort.Eh quoi ! Tout cela des enfants ! Oui, tout cela, si vous ne voulez pas fabriquer simplement des machines peler. Je sais quelles sont les difficult s de la t che. Vous gardez vos coliers peu d ann es et ils ne sont point toujours assidus, surtout la campagne. Ils oublient l t le peu qu ils ont appris l hiver. Ils font souvent, au sortir de l cole, des rechutes profondes d ignorance et de paresse d esprit, et je plaindrais ceux d entre vous qui ont pour l ducation des enfants du peuple une grande ambition, si cette grande ambition ne supposait une grand courage.J entends dire, il est vrai : A quoi bon exiger tant de l cole ? Est-ce que la vie elle-m me n est pas une grande institutrice ? Est-ce que, par exemple, au contact d une d mocratie ardente, l enfant devenu adulte ne comprendra point de lui-m me les id es de travail d galit , de justice, de dignit humaine qui sont la d mocratie elle-m me ? Je le veux bien, quoiqu il y ait encore dans notre soci t , qu ont dit agit e, bien des paisseurs dormantes o croupissent les esprits. Mais autre chose est de faire, tout d abord, amiti avec la d mocratie par l intelligence ou par la passion. Lavie peut m ler dans l me de l homme, l id e de justice tardivement veill e, une saveur am re d orgueil bless ou de mis re subie, un ressentiment et une souffrance.Pourquoi ne pas offrir la justice des c urs tout neufs ? Il faut que toutes nos id es soient comme impr gn es d enfance, c est- -dire de g n rosit pure et de s r nit .Comment donnerez-vous l cole primaire l ducation si haute que j ai indiqu e ?Il y a deux moyens. Il faut d abord que vous appreniez aux enfants lire avec une facilit absolue, de telle sorte qu ils ne puissent plus l oublier de la vie et que, dans n importe quel livre, leur il ne s arr te aucun obstacle.Savoir lire vraiment sans h sitation, comme nous lisons vous et moi, c est la clef de tout. Est-ce savoir lire que de d chiffrer p niblement un article de journal, comme les rudits d chiffrent un grimoire ? J ai vu, l autre jour, un directeur tr s intelligent d une cole de Belleville, qui me disait : Ce n est pas seulement la campagne qu on ne sait pas lire qu peu pr s, c est- -dire point du tout : Paris m me, j en ai qui quittent l cole sans que je puisse affirmer qu ils savent lire. Vous ne devez pas l cher vos coliers, vous ne devez pas, si je puis dire, les appliquer autre chose tant qu ils ne seront point par la lecture ais e en relation famili re avec la pens e humaine. Qu importent vraiment c t de cela quelques fautes d orthographe de plus ou de moins, ou quelques erreurs de syst me m trique ? Ce sont des v tilles dont vos programmes, qui manquent absolument de proportion font l essentiel.* J en veux mortellement ce certificat d tudes primaires qui exag re encore ce vice secret des programmes. Quel syst me d plorable nous avons en France avec ces examens tous les degr s qui suppriment l initiative du ma tre et aussi la bonne foi de l enseignement, en sacrifiant la r alit l apparence ! Mon inspection serait bient t faite dans une cole. Je ferais lire les coliers, et c est l -dessus seulement que je jugerais le ma tre.Sachant bien lire, l colier, qui est tr s s rieux, aurait bien vite, avec sept ou huit livres choisis, une id e, tr s g n rale, ilest vrai, mais tr s haute de l histoire de l esp ce humaine, de la structure du monde, de l histoire propre de la terre dans le monde, du r le propre de la France dans l humanit . Le ma tre doit intervenir pour aider ce premier travail de l esprit ; il n est pas n cessaire qu il dise beaucoup, qu il fasse de longues le ons ; il suffit que tous les d tails qu il leur donnera concourent nettement un tableau d ensemble. De ce que que l on sait de l homme primitif l homme d aujourd hui, quelle prodigieuse transformation ! et comme il est ais l instituteur, en quelques traits, de faire sentir l enfant l effort inou de la pens e humaine !Seulement pour cela, il faut que le ma tre lui-m me soit tout p n tr de ce qu il enseigne. Il ne faut pas qu il r cite le soir ce qu il a appris le matin : il faut, par exemple, qu il se soit fait en silence une id e claire du ciel, du mouvement des astres ; il faut qu il se soit merveill tout bas de l esprit humain, qui, tromp par les yeux, a pris tout d abord le ciel pour une vo te solide et basse, puis a devin l infini de l espace et a suivi dans cet infini la route pr cise des plan tes et des soleils ; alors, et alors seulement, lorsque, par la lecture solitaire et la m ditation, il sera tout plein d une grande id e et tout clair int rieurement, il communiquera sans peine aux enfants, la premi re occasion, la lumi re et l motion de son esprit. Ah ! sans doute, avec la fatigue crasante de l cole, il vous est malais de vous ressaisir ; mais il suffit d une demi-heure par jour pour maintenir la pens e sa hauteur et pour ne pas verser dans l orni re du m tier. Vous serez plus que pay sde votre peine, car vous sentirez la vie de l intelligence s veiller autour de vous. Il ne fautpas croire que ce soit proportionner l enseignement aux enfants que de le rapetisser.Les enfants ont une curiosit illimit e, et vous pouvez tout doucement les mener au bout du monde.Il y a un fait que les philosophes expliquent diff remment suivant les syst mes, mais qui est ind niable : Les enfants ont en eux des germes, des commencements d id es. Voyez avec quelles facilit ils distinguent le bien du mal, touchant ainsi aux deux p les du monde : leur me rec le des tr sors fleur de terre : il suffit de gratter un peu pour les mettre jour. Il ne faut donc pas craindre de leur parler avec s rieux, simplicit et grandeur.Je dis donc aux ma tres, pour me r sumer : lorsque d une part vous aurez appris aux enfants lire fond, et lorsque d autre part, en quelques causeries famili res et graves, vous leur aurez parl des grandes choses qui int ressent la pens e et la conscience humaine, vous aurez fait sans peine en quelques ann es uvre compl te d ducateurs.Dans chaque intelligence il y aura un sommet, et, ce jour l , bien des choses changeront.

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